Puis je pouvais écouter, la nuit, les cris et gémissements de leurs coïts affaiblis ou stimulés par les bières, plus faciles à comprendre que leurs énoncés, les bruits de copulation n’ayant pas besoin d’être traduits : ce sont partout à peu près les mêmes, tout le monde entend bien ce dont il s’agit, c’est une espèce d’espéranto qui n’aurait pas raté son coup.