Votre style est à dominance "dur": reportez-vous au chapitre 1 pour en approfondir les principales composantes et étudier les dérives possibles face aux "ingérables". Vous savez faire valoir vos intérêts et vos droits, ce qui est un atout essentiel. En revanche, face à un "ingérable", vous vous laissez emporter facilement à un jeu d’attaques et de ripostes qui entretient une escalade conflictuelle. Des ruptures relationnelles ont pu de ce fait vous être reprochées.
Votre style est à dominance "fuyant": reportez-vous au chapitre 2 pour en approfondir les principales composantes et étudier les dérives possibles face aux "ingérables". En général, vous parvenez assez bien à vous tirer d'affaire face aux négociateurs qui cherchent à vous contraindre. Toutefois, le flou dans les engagements pris et une relative indécision peuvent vous être reprochés. Comble de malchance, face a un "ingérable", alors que vous êtes sa victime, vous passez parfois pour son bourreau aux yeux de l’entourage.
Votre style est à dominance "doux": reportez-vous au chapitre 3 pour en approfondir les principales composantes et étudier les dérives possibles face aux "ingérables". Vous êtes réputé pour avoir un bon relationnel avec les autres. Cependant, les "ingérables" ont une certaine emprise sur vous, car, au nom de cette relation qui vous importe plus que tout, vous avez tendance à sacrifier vos enjeux et à vous faire avoir. A force, il peut même vous arriver de vous retrouver instrumentalisé dans la relation à autrui.
Votre style est à dominance "main de fer, gant de velours": reportez-vous au chapitre 4 pour entériner les éléments clés qui sont vos atouts. Ce style est le moins naturel et s'acquiert le plus souvent au travers d'une formation et d'un entraînement intensif. C’est le style le plus diplomate, qui associe les avantages du style "doux", efficace en ce qui concerne l’établissement d’un bon relationnel, et ceux du style "dur", efficace dans l'affirmation de soi et la satisfaction de ses enjeux. Son efficacité réside dans sa faculté à se préparer de manière complète et spécifique
Si c’est le cas, la première question à se poser est de savoir quelle est sa part de coresponsabilité dans toute situation vécue comme insupportable car le premier ennemi bien connu du négociateur est lui-même... Plutôt que de chercher à changer le comportement de l'autre, tentative souvent vaine et illusoire, il convient en effet de s'interroger en premier lieu sur ce que l'on peut changer dans son propre comportement pour améliorer la situation.
Quand je dis non, ça veut dire non. Quand je dis oui, ça veut dire non. Quand je ne dis rien, ça veut dire peut-être ! (Mitterrand en colère)
le degré d'adhésion à une décision est proportionnel au degré de participation à son élaboration
Ce jour est un jour de honte pour le peuple français, qui est comptable, devant les nations civilisées, de cette barbarie coloniale.
Personne n'a jamais complètement tort. Même une montre en panne donne l'heure deux fois par jour.
Croire, c'est se laisser porter par l'espérance de ce qui vient.
Risques psychosociaux (RPS) : pouvait-on rêver meilleure appellation anxiogène pour évoquer l'individu et sa relation au travail ?
Une idée qui n'a jamais tort est une croyance.
Comme le disait Edgar Faure, "Un ennemi, c'est quelqu'un avec qui vous n'avez pas encore pris le temps de déjeuner. "