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Jean Fayard
Long comme un liseron et tout mince dans son veston bien correct, l'oeil timide derrière des lunettes de myope, la bouche toujours prête à exécuter un grand sourire poli, il a l'air d'un collégien que sa famille récompense. Ou, peut-être, plutôt d'un petit prince héritier à sa première sortie. Figaro, 3 février 1958. |