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Critiques de Jean-François Pépin (65)
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La Culture générale pour les Nuls

Pour tous ceux qui étaient au fond de la classe ou dans les nuages, cet ouvrage permet de se rafraîchir la mémoire. A garder sous la main en cas de défaillance.
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Miscellanées de culture générale

Tout d’abord, encore merci aux PUF et à Babélio de m’avoir permis cette lecture dans le cadre d’une masse critique particulière…

« Miscellanées de culture générale »… Faut-il rappeler le mot d’Edouard Herriot : « la culture (qui plus est générale) est ce qui reste quand on a tout oublié ? »

Bien sûr qu’il faut le rappeler, et en même temps se rendre compte, en ouvrant ce recueil, qu’on a même oublié des choses qu’on ignorait… Je passe sur le vocabulaire ancien et maintenant inusité, mais qui se souvient à part les spécialistes que Crépitus était le dieu romain du pet, que Pyroïs, Eoos, Aéthon et Phlégon étaient les quatre chevaux blancs qui tiraient le char d’Hélios, le soleil… Et les douze travaux d’Hercule ? Qui sait que l’@ était déjà utilisé pour indiquer le « ad » latin (à, vers) par les moines copistes ?

On dit souvent que « l’écriture est la science des ânes »… et le culte de l’âne, pratiqué dans l’antiquité ? L’onolâtrie ; mais comme moi, vous l’aviez sans doute oublié…

Je sais, ce genre de connaissances est absolument inutile… mais comme le disait Cyrano : « c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !».

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Miscellanées de culture générale

Aujourd’hui j’ai pas envie d’être méchante. D’ailleurs je n’ai jamais vraiment envie de l’être, même si j’ai un peu trop souvent tendance à aimer m’amuser au détriment d’autrui, mes paroles (et mes écrits) dépassant de loin ma pensée.





Je sais, c’est un mauvais présage d’introduire ainsi une note de lecture. Venons-en au fait. Un jour que je devais faire 8 heures de trajet en voiture (en tant que passagère, quoiqu’il m’arrive parfois aussi de lire en conduisant), je me suis dit que ça pourrait être bien de feuilleter ce truc pour poser les devinettes et faire passer le temps, parce que soutenir 8 heures de conversation de suite, même un homme politique n’y parvient pas. Vient toujours un moment où l’on préfère regarder le paysage que d’essayer en vain d’aligner deux mots à la suite. L’homme n’est pas né pour parler. A peine davantage pour écrire.





Clairement, ce livre ne permet pas ce genre d’activité. Pourquoi ?

1) Les questions demandent un peu trop de réflexion. Il faut nécessairement être bien assis chez toi avec du silence, du calme et de quoi écrire.

2) Les questions ne sont pas forcément très drôles ou étonnantes. Vous risquez vite de passer pour le gros relou.

3) Si vous n’avez pas une connexion internet sous la main, les réponses sont frustrantes parce qu’elles vous balancent des noms dans ta gueule mais genre, les peintres, t’aurais aimé voir leurs peintures, les dieux, t’aurais aimé en savoir un peu plus sur leurs pouvoirs magiques, les livres, t’aurais aimé en lire quelques lignes, etc. Les listes de noms, c’est bien bon mais ça ne suffit pas.

4) Putain, ils se sont encore crus obligés de mettre des recettes de cuisine, c’est’y pô possible, nous n’échapperons pas au lessivage de cervelle alimentaire.





Le seul truc vraiment marrant dans ce livre c’est d’apprendre que certaines rues de Paris ont été renommées pour qu’on oublie qu’avant, leur commerce principal, c’étaient les putes. Moi, je connais pas trop Paris mais certains y habitent. Lorsque vous passerez dans la rue Marie-Stuart, faites hommage à feu la rue Tire-vit ; Rue Dussoubs = Rue Gratte-cul ; Rue Taillepain = Rue Donne-Joie ; Rue du Pélican = Rue du Poil-au-Con ; Rue Beaubourg = Rue Trace-Putain ; Rue du Petit-Musc = Rue Pute-y-Muse.





A part ça, avec une connexion internet et du temps à perdre, on peut apprendre des trucs parfois utiles sur l’histoire, la littérature, la mythologie, la peinture, donc c’est pas trop mal fait.

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Miscellanées de culture générale

Le livre le plus difficile du monde.

Sans doute pas le plus difficile du monde, mais en tout cas, pour moi, il est difficile.

C'est un livre dont les questions de culture générale, difficiles donc, nous apprennent des choses.

Le problème sera de les retenir... Au moins une ou deux...ou plus, selon votre motivation, votre culture générale, votre intérêt.

Je pense qu'il faut prendre ces petits tests comme un jeu. Si on ne sait rien, ou presque, tant mieux, cela veut dire qu'on a encore plein de choses à découvrir, et donc, plein de livres à lire. ...Si vous avez toutes les réponses, alors bravo !

Pour ma part, je préfère apprendre, mine de rien, en me plongeant dans un roman passionnant.





Je remercie Babelio et les Éditions Puf pour ce Miscellanées de culture générale, que je feuilletterai de temps en temps.

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La Culture générale pour les Nuls

"Il faut cultiver notre jardin" fait dire ce cher Voltaire à son personnage Candide. Pour débuter cette entreprise de grande envergure, je vous propose deux solutions. La première consiste à prendre une année sabbatique pour se consacrer à la lecture d'une quelconque encyclopédie en quinze volumes. La deuxième est plus simple, plus rapide, et surtout plus facile à emporter, c'est tout bonnement vous pencher sur ce petit recueil. Je reste persuadée aussi que ce sera plus marrant car cette collection reste fidèle à un de ses principes : faire rimer dérision avec instruction.

Évidemment, l'amateur du détail et de la précision ne se satisfera de condensé mais il pourra quand même y trouver quelques anecdotes bien choisies et faciles à retenir car nous le savons tous "la culture, c'est ce qui reste quand on a tout oublié".

Un petit quizz sur les différents thèmes évoqués (l'univers, le corps humain, les grandes civilisations, la littérature, les religions) termine agréablement le livre.
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Miscellanées de culture générale

Je tiens à remercier chaleureusement l'équipe Babelio ainsi que les éditions PUF pour l'envoi de ce superbe livre.

Dire que je l'ai aimé serait un doux euphémisme. De nature curieuse et assez fana de culture en général, il n'était pas très dur de m'appâter avec ce beau livre sur des détails de culture générale peu connus et assez pointus. Je l'ai dévoré en à peine quelques heures de lecture.



La présentation sous forme de questions / réponses est très ludique. J'avoue que sur certains points, où j'avais quelques idées de la réponse, je me suis prise au jeu de tester mes talents mais sur d'autres, où la réponse m'était clairement obscure, j'ai d'emblée savouré les réponses vraiment détaillées.

Je ne peux pas dire que j'aurai retenu l'intégralité des savoirs contenus dans cet opus mais certaines choses que j'avais apprises sont revenues à la surface grâce à ce rappel et le caractère insolite, drôle, déroutant de quelques énigmes resteront présentes désormais. Allez, un tout petit bémol et encore je chipote, les carrés magiques et les chiffres romains c'est vraiment pas mon truc !



Je sais que je ne sais rien mais désormais j'en sais peut-être un peu plus d'autant que j'ai toujours été intéressée par les mythologies du monde, les arts, la littérature et l'histoire (thèmes qui sont largement traités ici). La langue des auteurs est technique tout en restant claire, facétieuse et ludique tout en gardant à l'esprit le côté didactique.



Le petit plus de l'ouvrage, sur le bord extérieur des pages impaires, une petite surprise graphique mignonne comme tout au feuilletage rapide.



Une somme de connaissances insolites et nouvelles qui viennent doucement éveiller votre curiosité et solliciter mémoire, concentration et logique.
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Miscellanées de culture générale



Merci à Babelio et aux éditions Puf pour l'envoi de ce livre , tout d'abord.



Les" Miscellanées de Mr Schott" ont connu un vif succès en 2005.Beaucoup y ont vu une nouvelle approche originale. Mais Oscar Wilde, le facétieux, écrivait déjà :" C'est une bien triste chose qu'il y ait de nos jours si peu d'informations inutiles."Comment définir ce genre , si genre il y a ?" Fragments littéraires et culturels" , " particularités en tous genres", " bric à brac de mots"? En tout cas, c'est l'idée de mélange qui prime ( du latin " miscellanea":mélanges, moi aussi, je peux faire ma " savante", hum ! Je plaisante, bien sûr !)



Bon, maintenant que dire de ce livre, qui a le mérite de se concentrer sur un domaine donné( mais qu'il est vaste !) celui de la culture générale? Il faut y chercher avant tout une forme de distraction plaisante, une façon désinvolte de se cultiver.On picore ici un grain de mythologie ( les Muses et leurs attributs, par exemple), là un ingrédient d'une recette d'"une fricassée à la manière d'Apicius"...Les informations données sont très disparates, et fort anecdotiques.

Mais justement, c'est à double tranchant, car elles peuvent aussi être perçues comme sans grand intérêt, ne cherchant qu' à éblouir,de façon clinquante.



Je pense qu'il faut lire ce recueil à petites doses, en piochant au hasard.La difficulté des questions posées ne doit pas rebuter.Ce n'est pas l'essentiel.Le but est plutôt de découvrir avec curiosité et plaisir ce que nous apprennent les réponses.En dehors des questions purement littéraires, comme l'incipit et l'excipit des romans, auxquelles j'ai su répondre, l'ensemble n'est pas évident du tout !Et effectivement, comme le sous-titre l'indique, il peut se targuer d'être difficile.Le plus difficile du monde, c'est un tantinet exagéré ! Voyons-y avant tout le côté ludique et insolite, décalé.Les jeux de mots des titres et les dessins accentuent d'ailleurs cet aspect .



Justement, c'est pour moi le problème posé par ce type de livre: il ne laisse pas beaucoup de trace dans notre esprit.On papillonne d'une page à l'autre , on survole...et il n'en reste rien ou si peu ! Un froissement d'ailes tout au plus .



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La Culture générale pour les Nuls

Trop d'ouvrages prétendument de "culture générale " n'en ont que le nom.



Je suis convaincu, pour autant, de la qualité de la collection "pour les nuls" que je lis régulièrement. Mais pardon, celui de "culture générale", des mêmes auteurs que "1kg de culture générale" - ce dernier exclut toutes les disciplines scientifiques et de ce point de vue est une tromperie eu égard à son titre.

Quant "aux nuls", des mêmes auteurs donc, il n'est pas davantage intéressant.



Non pas par l'étendue des thèmes abordés, plus vastes que dans "1 kg de culture générale", mais par la pauvreté des réponses données aux questions importantes abordées. ( tout juste du niveau élémentaire).



Certes , cest le principe de cette collection, mais alors, je m'interroge sur la crédibilité d'un ouvrage sur la culture générale.



Je pense qu'un livre qui donnerait, plutôt, des pistes de lectures, d'écoute de musiques, de visites de musée, etc... serait plus approprié.





La culture générale est absolument incompatible avec un ouvrage comporterait il 10000000 de pages !



Je le pense sincèrement quand on sait qu'une vie entière et bien remplie ne suffit pas à l'acquisition de LA culture générale en constante et exponentielle évolution.



Alors sil s'agit de restituer deux ou trois idées ou concepts la veille du prochain dîner en ville, il ne sagit plus de culture générale...



Michel.
Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
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Miscellanées de culture générale

Le sous-titre du livre est « Le livre le plus difficile du monde »



1 - Pour la motivation, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..

Si votre aspiration était de vous enrichir intellectuellement, ce n’est pas gagné. Les sujets abordés sont si peu conventionnels et anecdotiques que même s’ils ont un intérêt, vous aurez un mal de chien à les retenir. Sauf si vous possédez une mémoire phénoménale capable de tout avaler et restituer…mais, dans ce cas je ne suis pas convaincu que cet ouvrage vous apprenne quoi que ce soit.



2 - Pour briller en société, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..



Car si votre motivation était d’étoffer vos conversations, c’est franchement raté ; comment citer le nom des neuf muses, comment parler le louchébem, l'argot des bouchers, sans donner aussitôt l’impression de trop étaler sa « culture » faute d’en avoir suffisamment, si vous voyez ce que je veux dire.



3 - Pour susciter la curiosité, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..



Car qui peut avoir envie d’approfondir les astuces de beauté de l'époque médiévale parce que ce bouquin lui en a parlé ? Seules les questions véritables rencontrées pragmatiquement nous poussent à creuser un sujet, c’est là le véritable signe d’un éveil suffisant pour se construire une culture générale apte à nous aider à élaborer les bons raisonnements, apte à faire de nous des personnes intelligentes. Non, non, je ne mélange pas ; je déduis l’une de l’autre.

Mais bon, effectivement un hasard peut mener un lecteur vers une future passion.

« Les avances des prostituées en Grèce ou à Rome », par exemple. Pourquoi pas ?



4 - Pour tenir ses promesses, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..



Les auteurs nous promettent d’étoffer leurs réponses ne se limitant pas à de simples mots. En voici un exemple :

Question :

Classez du plus petit au plus grand les nombres romains suivants, puis donnez leur équivalent en chiffres arabes :

XCI, XCVII, MMMMC, MXCIX, XCIX, LXXII, MMMM, LXII, VIII, XI, MCMLXXXIX, DCC, CM, MMMCMXCIX, MDCCCLXV

Réponse :

8, 11, 40, 62, 72, 91, 97, 99, 700, 900, 1099, 1865, 1989, 3999, 4000, 4100

Effectivement, il n’y a pas que de simples mots ; il n’y en a pas du tout !

Dommage ce sujet avait des applications presque quotidienne.



5 - Pour nous dérider, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..



Car, annoncé comme un guide parfois humoristique, les plaisanteries éparses sont d’un niveau presque insultant tant elles sont puériles

Mais peut-être les auteurs souhaitaient-ils nous faire croire que nous n’étions pas si nuls que cela.



6 - Pour offrir, voici enfin le livre le plus difficile du monde…..



Honnêtement, quelle idée vous ferez vous, au mieux de vous-même, au pire de la personne qui vous offrirait ces miscellanées de culture générales ?



Cela m’a rappelé, la rubrique que je lisais, enfant, dans le journal de Mickey : « Le saviez-vous ? »

Sauf que dans ce cas, nombre des sujets abordés ont germés en moi grâce à leur utilité, leur pétillance, leur croustillance.



Bon je ne veux pas être totalement négatif, j’avoue que je ne connaissais pas le mot « miscellanées » avant d’avoir lu ce livre.

Quant au reste, même si j’en retiens quelque chose, je doute qu’il me serve un jour, pas même pour édifier mes raisonnements.



Aussi est-ce tout penaud que je tiens tout de même à remercier Babelio et les Presses universitaires de France pour m’avoir fait participer à l’élaboration d’une appréciation collective.



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Un kilo de culture générale

Voilà un achat que je n'aurai pas du faire ! Les auteurs avaient déjà publié " La culture générale pour les nuls" que je consulte assez souvent et qui traite à peu près de tout en 550 pages, de façon claire et attrayante. C'est pourquoi j'ai acheté les yeux fermés "1 kilo de culture générale" par les mêmes auteurs, en pensant que la trame de l'ouvrage et les sujets traités seraient les mêmes que leur "pour les nuls", mais en plus étoffé puisque le "kilo" fait plus de 1600 pages. Or, je dois le dire, il y a tromperie sur la marchandise ! Il ne s'agit pas là d'un ouvrage de culture générale, mais d'un livre d'Histoire des civilisations incluant les Arts (l'architecture, la peinture, la littérature, la philosophie, la musique...) On sent bien que les auteurs sont passionnés par l'Art en général.

La 4e de couverture nous dit qu'il s'agit de "l'ouvrage de culture générale le plus exhaustif, et le plus plus indispensable à qui veut avoir réponse à tout" !!!

Mais il zappe totalement la Science ! Toutes les sciences !

Ils nous servent, en début d'ouvrage, 16 pages pour nous expliquer ce qu'est la culture générale ! En fait, pour résumer, cet ouvrage aurait du s'intituler "Histoire des cultures du monde" ou "Histoire des civilisations". Et il faut croire que pour eux la Science n'est pas de la culture, car mises à part une dizaine de pages au début du livre et quelques pages ici ou là, la Science est la très grande absente de cet ouvrage. A réserver donc aux passionnés d'architecture, de peinture et de littérature à travers les âges et les pays.

Une dernière chose : effectuer une recherche dans ce pavé est relativement fastidieux, bien qu'il y a un index des noms (44 pages), des œuvres (31 pages) et des lieux (11 pages) ainsi qu'une table des matières détaillée. Et l'information est souvent fractionnée et répartie au sein de l'ouvrage.

Exemple : dans l'index des noms, j'ai recherché, au hasard, Christophe Colomb.

Voici ce que j'ai trouvé :

page 688 : 2 lignes

page 698 : 7 lignes

page 995 : 1 ligne

Et même pas de référence à 1492 !

Cela vous paraît léger, non ? A moi aussi.

Mais c'est normal puisque Christophe Colomb n'était ni peintre, ni architecte, ni musicien, ni écrivain !

Je ne chargerai pas plus la mule !

Mais que ceux qui sont à la recherche d'un bon ouvrage de culture générale évitent ce livre et se rabattent plutôt sur "la culture générale pour les nuls", des mêmes auteurs donc.

Comme quoi je ne suis pas rancunier.
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Miscellanées de culture générale

Que Masse critique et les Presses Universitaires de France soient remerciées pour l'envoi de cet amusant volume, qui doit être critiqué par les lecteurs de Babelio. Si la culture générale est la conscience aiguë que l'on ne sait rien, l'objectif formateur du livre est atteint : en effet, il administre au lecteur une belle leçon de modestie, tout en le consolant de ne rien savoir en lui ouvrant mille perspectives d'enquêtes et de curiosités. Leçon de modestie, mais aussi d'optimisme et alléchantes ouvertures vers d'autres livres. Mais la culture générale est-elle une somme de connaissances anecdotiques, une sorte de cabinet de curiosités hétéroclites et sans prise sur le monde ? C'est un peu ce que le livre a l'air de dire, en déconnectant la culture du déchiffrement du monde comme il va. On y fait une grande place au "ludique", en pleine conformité avec la mode d'aujourd'hui, affolée de "second degré" et d'humour, mais je ne voudrais pas que l'on s'imagine que les jeux érudits, si amusants soient-ils, résument à eux seuls la culture, qui est un instrument de contestation, de critique et de lucidité. J'aurais bien voulu citer à l'appui de ce reproche l'entrée sur l'art contemporain, remarquable par sa "mollesse de genou", mais il n'y a aucune table des matières ni des noms propres en fin de volume. Merci donc à Babelio de m'avoir offert ce petit amusement sans conséquence.
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La Culture générale pour les Nuls

Je voulais préparer le concours de la gendarmerie et je suis tombé sur ce livre. Quoi de mieux pour se préparer et développer sa culture générale. Bien sûr, ce livre ne grossira pas vos muscles mais augmentera vos neurones. Vous en sortirez plus intelligent, plus cultivé. L'appellation "pour les nuls" est toutefois quelque peu dévalorisante pour les lecteurs. Il est pourtant vrai que nous sommes tous ignorants. Nous ignorons de quoi nous sommes faits et comment tout cela s'est assemblé. Nous ignorons tous d'où nous venons et quelle est notre origine.



A défaut d'un entrainement en salle de sport, faites bougez vos neurones et entrainez-les à se lier d'amitié pour vous faire avancer.
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Miscellanées de culture générale

Je remercie Babelio et les éditions PUF pour l'envoi de ce livre. Un livre de culture générale ne peut que m'intéresser, me suis-je dit. Première recherche avec le titre miscellanées : genre littéraire composé de textes divers, "mélangés", avec une unité plus ou moins manifeste. Et voilà, un peu moins bête, juste avec le titre !

Ce livre se présente sous forme de questions/réponses, tout bêtement. Mais attention, c'est tout de même le livre le plus difficile du monde mais aussi le plus ludique,

soi-disant en passant. Dès le départ, je joue le jeu, en essayant de répondre aux questions. Mais très vite, j'abandonne car quand je ne sais pas, je ne sais pas et répondre au hasard, pas d'intérêt pour moi. Alors, j'ai lu les questions et je suis passé directement aux réponses.

Quelques pages lues sur plusieurs journées car j'avoue que je n'étais pas très passionnée par cette culture. Pour moi, perso, j'ai trouvé ce livre complètement "déjanté".

Il m'a parfois fait sourire, parfois intéressée et parfois ennuyée. Vous dire ce que j'en ai retenu : pas grand chose, hélas. Trop d'infos tue l'info, du moins pour moi.
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La Culture générale pour les Nuls

Ce livre a les qualités et les défauts de tous les ouvrages qui veulent survoler un maximum de sujets : quand on s'y connait on se dit que ce sont des résumés vraiment très grossiers. Mais dans les domaines où on n'y connait rien on est bien content qu'on nous présente les grands fondements et les indispensables. Donc l'un dans l'autre, moi j'aime bien.
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Culturissime

Tu te sens ramollo du bulbe quand tu entends la sagacité de certains candidats érudits du "Jeu des 1000 euros" sur France Inter ?

T'as honte quand tu ne sais pas répondre à certaines questions du "Trivial pursuit" qui relèvent pourtant du background culturel de base ?

T'es allergique à l'histoire de l'Antiquité et aux lignées royales de l'ancienne Perse ?

T'es persuadé que la Mésopotamie est une pathologie qui fait enfler tes guibolles en les faisant ressembler aux jambonneaux d'un hippopotame ?

Alors, cher ami lecteur, ce livre est fait pour toi ! (et je l'affirme sans aucun sarcasme).

Tu ne sauras peut-être pas TOUT sur TOUT (ce n'est d'ailleurs pas le but du livre), mais avec ce pavé, tes lacunes en culture générale ont du souci à se faire !

Présentation agréable, claire, aérée, large palette des sujets traités, les auteurs ont le sens de la synthèse et savent comment susciter l'appétit de savoir du lecteur. Au fur et à mesure de la lecture, on s'aperçoit d'ailleurs rapidement que ce livre est fait de façon à ce que le lecteur avide se tourne vers d'autres sources pour approfondir ce qui n'est qu'esquissé.

Pour ma part, j'ouvre régulièrement mon "Robert 2" et "Culture générale de A à Z" (qui ne m'avaient jamais autant servi ! :) ).

Et là, c'est beau de se sentir riche à l'intérieur.

Un livre salutaire, enrichissant, et qui offre l'avantage de pouvoir être lu dans le désordre, lors de micro-séances de lecture.



On regrette néanmoins l'absence d'illustrations systématiques (notamment pour les chapitres qui concernent les monuments). Mais après tout, il y a désormais les moteurs de recherche sur Internet, et les images sont à portée de clic.

Les auteurs ont été malins : des illustrations auraient sans doute eu un impact non négligeable sur le prix de l'ouvrage, et 30 euros pour accéder au savoir sans se prendre la tête, ni être pris pour un neuneu, c'est pas cher.

Un chaleureux merci à nos deux auteurs nationaux qui depuis des décennies oeuvrent à l'édification des foules.



Tu l'auras compris, cher lecteur : lis ce livre et tu brilleras enfin en société, les filles seront à tes pieds et ton beau-frère prof d'histoire-géographie en lycée fera moins le cake à tes dépens durant les parties familiales de "Trivial pursuit" d'après-repas de Noël !
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Un été de culture G : Pour toute la vie

Je remercie Babélio et les éditions Les Belles Lettres pour ce guide, reçu au détour de l'opération Masse Critique ! Et j'ai, malheureusement, masse à critiquer en effet. Adepte des éditions, j'ai cru que ce serait, pour moi, l'occasion d'effacer mes quelques réticences concernant les manuels (ou plutôt guides) de culture générale (choix arbitraires, public peu clair, informations non sourcées, etc). Et... mes a priori, d'abord apaisés par les commentaires et la promesses de +600 pages à explorer ont commencé à trouver leur justification dès réception.



Dans un format pratique, couverture souple avec rabats, condensé, aux pages très peu bouffantes mais épaisses, présentation magazine aux belles illustrations, d'emblée le nombre de pages est incorrect (411, pas 600+). Toutefois, bel effort dans la présentation des sujets, organisés du macrocosme au microcosme, de l'infiniment grand aux petites particularités humaines.



Lisons.



Cafouillage dans la présentation des dates pour la chronologie des découvertes spatiales, Einstein se balade dans le temps et propose des modèles basés sur la théorie de la relativité dès la première moitié du XIXe siècle. Intéressant, ses aventures dans le passé auraient mérité un chapitre. Plume agréable, parfois ampoulée. Les sources manquent, par exemple, le cas de Pluton, p.37, me chiffonne : sa classification ou non comme planète du système solaire est débattue depuis si longtemps que dire de but en blanc que c'est une planète du système solaire sans mentionner les débats autour de ces notions, ça me paraît hasardeux.



P.47 au sujet du bleu de notre planète "cette couleur est le résultat conjugué de trois phénomènes. L'eau d'abord [...]" pour les deux autres, oubliez, il faudra repasser : l'auteur se perd en digressions éculées et s'il vous avait accroché avec cette question intéressante, il oublie de terminer son explication



P.118 peu d'explications des causes des choix politiques, chronologie déjà anarchique, maintenant on fait avec des dates erronées (traité Torrijos-Carter en 1877 au lieu de 1977)



P.170 pour parler de Cléopâtre (et de ses ressentis !) c'est quasi vital cette fois de présenter ses sources, toujours très politisées à l'époque. En général, le chapitre réservé aux dirigeantes le mérite au risque de tomber dans le sensationnalisme d'une légende noire. Philippe le Bel et Charlemagne ont eu droit à un traitement plus pudique. Au moins nous observons un casting plus fourni du côté des biographies des dames, même si, comme chez les hommes, les choix opérés sont assez arbitraires. [Les sources et leur potentielle subjectivité sont mentionnées plus tard pour parler de Cléon, p.223]



P.180/181 déjà le chapitres intitulé "les Dames de nos pensées..." m'avait fait lever les yeux au ciel, on bondit en pleine misogynie ici sous couvert de faux féminisme. Déjà on tombe dans le cliché de faire de l'histoire immonde de ce porc d'Abélard avec Héloïse une histoire d'amour (même celle si célèbre de Ronsard est moins à vomir, je rappelle qu'Abélard écrit "tu refusais, tu résistais, mais j'ai arraché ton consentement par des coups, en profitant de ta faiblesse"), en plus, dans la section sur les "maîtres" du roi (guillemets présents dans le titre, vous avez vu ? C'est tellement moins sexiste de rappeler que maîtresse est un mot connoté, ah, là, là) on dit d'une belle femme intelligente qu'elle a "bien du mérite" d'être la maîtresse d'un laideron dépressif (en substance, la description donnée du portrait de Charles VII). Mais au secours, qu'est ce que je suis en train de lire...



P.188 je sais pas comment le prendre de voir le favori de Louis XVIII dans le chapitre "Les Dames de nos pensées"... on va dire que c'est déplacé, au littéral.



P.197 après Einstein dans le temps, préquel avec Nicolas V. Qu'il s'agisse du pape ou de l'antipape, la renommée future de Raphaël lui fait traverser les océans du temps pour passer une commande. La chronologie est anarchique dans cette section, incompréhensible, épuisante.



P.203 "Mars, divinité grecque de la guerre", oups, j'ai glissé, chef. On en est là. À ce stade, autant dire que la relecture est absente.



P.226 apparemment la première et la deuxième guerre puniques ont eu lieu aux mêmes dates. Encore un coup des voyageurs temporels.



Partie 2



P.272 après quelques lourdeurs et une construction de paragraphes anarchique qui fait des aller-retours entre les supports d'écriture sans se contenter de suivre la ligne chronologique (c'est surfait, on dirait), "l'invention de l'imprimerie au XVIe siècle" ça sera difficile, bichon. Même sans compter l'imprimerie chinoise et en restant dans nos chausses européennes, Gutenberg est mort avant le XVIe siècle et le temps des incunables va de (environ) 1450 au 31 décembre 1500. C'est cadeau.



Puis Victor Hugo qui atteindrait le faîte de sa carrière en 1927, les Naturalia qui seraient, dans un cabinet de curiosité, issues de la main de l'Homme, avant de parler des Artificialia (c'est un peu embarrassant, à ce niveau), une dissertation digne d'un lycéen sur ce qu'est l'art, ... Je pourrais poursuivre des heures encore sur le sujet de ces erreurs et de ces prises de position à base de poncifs mal compris que veut ou veulent transmettre les auteurs.



Si cette purge m'insurge, elle n'est pas exempte de qualités, graphiques entre autres, et réussi son pari : à force de me battre pour comprendre et de devoir vérifier la véracité de ce que je lisais, j'ai beaucoup appris. Un baisser de rideau sur 40 ans de promotion de culture G de la part de nos deux universitaires qui, plutôt que de quitter le milieu avec panache, ont claqué la porte derrière-eux. S'ils en ont eu marre, ça, ça nous a été communiqué avec brio, je ne peux pas le nier. Pour les vrais curieux, en dehors de Wikipedia, je vous conseillerais de vous tourner plutôt vers le site l'histoire pour tous, conseillé et utilisé par les étudiants en histoire. J'arrête ici, ce livre m'a assez fait perdre de temps, je vais m'atteler à profiter de l'été !
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Un été de culture G : Pour toute la vie

J'ai reçu cet ouvrage grâce aux éditions des Belles Lettres, qui avaient proposé aux lecteurs sur Instagram de découvrir l'une de leurs récentes parutions : j'ai choisi Un été de culture G pour toute la vie car le sommaire m'a immédiatement séduite ! Et j'ai bien fait car j'ai adoré cet ouvrage !



Pour commencer, un rapide petit mot sur l'objet-livre : on a une jolie couverture cartonnée avec des rabats, le motif composé de nombreux objets résume assez bien le contenu du livre. A l'intérieur, on a de très jolies et élégantes illustrations en rouge sur fond blanc à chaque en-tête de parties et de chapitres mais aussi dans le corps du texte, pour ajouter quelques images au propos. Et j'ai beaucoup aimé ces petites illustrations, elles font de ce livre un très bel objet, il y a un petit côté "livre précieux" qui font qu'on le garde avec plaisir dans sa bibliothèque pour le feuilleter à l'occasion.



Concernant le contenu de l'ouvrage en lui-même, le propos est divisé en plusieurs grands thèmes (géologie et astronomie, géographie, histoire, littérature, histoire de l'art, musicologie...) chacun divisé en plusieurs chapitres nous proposant d'enrichir ou de réviser nos connaissances sur ces sujets. Pour certains (dans le domaine artistique ou historique notamment), les auteurs ne se cantonnent pas au monde occidental mais proposent une ouverture sur les cultures asiatiques ou africaines : c'est un aspect qui m'a beaucoup plu car ce sont des cultures que l'on connaît mal et / ou que l'on n'a peu l'occasion d'aborder durant ses études, c'est donc intéressant de pouvoir enrichir ces connaissances sur ces thématiques.



Le livre peut sembler un peu ardu au départ, vu la variété des sujets abordés et le niveau de détail dans lequel vont les auteurs, mais pas du tout : le propos très clair et accessible, j'ai par exemple appris pas mal de choses sur l'astronomie et les mathématiques (alors que ce sont clairement des sujets que je ne maîtrise pas du tout).

C'est d'ailleurs le gros point fort de cet Été de culture G pour toute la vie : nous proposer en 400 pages une foule d'informations et de connaissances sur de nombreux sujets, tout en restant plaisant à lire. On ressort vraiment de cette lecture avec la satisfaction d'avoir appris des choses tout en ayant passé un bon moment de lecture.

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La culture générale pour les Nuls Vite et Bien

Je n'ai trop rien appris en terme de science et j'ai même trouvé quelques erreur... c'est ballot quand même^^

Pour le reste, j'ai certes découvert quelques infos mais c'est tellement survolé qu'il ne m'en reste presque rien. C'est le problème avec les livres comme cela : à vouloir parler de tout (et bien sûr, la culture G, c'est un puits sans fond), on ne parle finalement de rien... Disons que c'est sympa à picorer de temps en temps...



Dernier bémol : moi qui aime tellement cette petite (grande !) collection "Pour les nuls", notamment pour son humour, je ne l'ai pas croisé ici. Encore dommage... :/
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Miscellanées de culture générale

Merci à l'équipe Babelio et aux Presses Universitaires de France, l'éditeur, de m'avoir permis de découvrir ce livre, un premier du genre pour moi.

Cependant me voici bien embarrassée ! Il est en effet toujours difficile de manquer d'enthousiasme lorsqu'on vous fait un cadeau. Aussi, et n'aimant pas beaucoup ondoyer, je me contenterais de dire que, sans me laisser totalement de glace, cet ouvrage ne m'a pas vraiment enthousiasmée.

En vérité, c'est surtout sa promesse de « livre le plus difficile du monde » qui m'a laissée perplexe. « le plus difficile » pour moi pouvait signifier qu'il allait me donner du fil à retordre, m'étonner, m'embarrasser, me mettre à mal, me bousculer, m'extirper les toiles d'araignées, me nettoyer les yeux… que sais-je ? me décrasser quoi, m'illuminer en quelque lieu ou en quelque chose .… ce ne fut pas le cas. Je n'y ai trouvé qu'une suite de quiz non pas sans intérêt bien évidemment, mais qui n'ont pas su captiver le mien. Peut-être parce qu'il se peut que l'intérêt comme l'appétit vient en mangeant, celui des curiosités vient en s'interrogeant….

Intriguée, je suis allée voir ce qu'avait publié jusqu'ici l'auteur : La Culture générale pour les Nuls, Un kilo de culture générale, La Boîte à culture pour les nuls, Culture pour tous, Notions de culture générale pour lycée, Guide de culture générale, etc… était-il encore besoin de ce miscellanées de culture générale…. ? Nul doute qu'il convenait de baptiser ce petit dernier « le plus difficile du monde » pour en soutenir la promotion…

Allez, pour finir sur une note gentille, j'ai bien aimé la petite animation des pages qui au feuilletage passe du livre à la petite chouette, comme nous le faisions lorsque nous étions enfant en animant de petits dessins les pages de nos cahiers ..

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Miscellanées de culture générale

Le titre exact du livre est MISCELLANÉES DE CULTURE GÉNÉRALE - LE LIVRE LE PLUS DIFFICILE DU MONDE. C'est un peu pompeux car ce bouquin n'est probablement pas le plus difficile du monde. Il est simplement difficile, du moins pour celui qui n'a pas cette culture ce qui est mon cas.



Le sujet de ce livre : la culture générale. Autrement dit un puits sans fond. La culture générale, on en a tous une définition. Pour moi, c'est ce qui sert à briller au Trivial Pursuit. Cela tombe bien parce que la forme de ce livre permet de jouer seul ou à plusieurs. En effet les auteurs nous posent une question et la réponse est sur la page suivante. C'est assez ludique même si c'est aussi la limite de cet ouvrage car, si l'on est seul, cela devient un peu lassant au bout d'un moment. Il vaut mieux venir picorer de temps à autre dans le bouquin que de le lire d'une traite comme un roman.



L'autre limite à mes yeux, c'est le thème choisit. Il est tellement vaste qu'il n'y a aucun lien entre les différentes questions posées dans l'ouvrage. On nous parle de Louis XIV puis de techniques artistiques puis de l'Homme de Néandertal puis des filles de Zeus... J'ai eu l'impression de passer du coq à l'âne.



Il n'en demeure pas moins que le livre est très bien fait et que les auteurs se sont cassés la tête pour nous poser des questions complexes et détailler les réponses.

Je me suis rendue compte que ma culture générale était loin d'être générale et que j'étais incapable de répondre à la majorité des questions. Il faut dire que de nombreux sujets abordés dans le livre ne me passionnent pas et, ayant quitté les bancs de l'école depuis longtemps, je ne m'oblige plus à m'intéresser à ce qui ne m'intéresse pas du tout.



J'ajoute que l'ouvrage en lui-même est beau, j'aime beaucoup la couverture. En plus sur la page de droite, il y a un petit dessin et si vous feuilletez rapidement le livre, le dessin s'anime et le petite chouette s'envole. Ça ne sert à rien mais c'est mignon et j'adore ce qui ne sert à rien.



Je remercie chaleureusement Babelio ainsi que les éditions PUF de m'avoir offert ce livre dans le cadre de Masse Critique.

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