Si nous l’acceptons, les machines nous aideront à améliorer nos conditions de vie et notre santé, à protéger la biodiversité et à entrer dans une économie dédiée à la connaissance, l’art, la gratuité des services, un monde fraternel basé sur le respect d’autrui et de la nature. Un monde où les frontières finiront par disparaître. Un monde de paix, d’épanouissement collectif et d’enrichissement intellectuel. Si nous le refusons et que nous nous retournons contre les machines, pour protéger nos Etats ou non multinationales, nous perdrons le combat.