Jean Graton

Je n’avais jamais lu de Michel Vaillant. Alors autant commencer par le début en lisant le tout 1er tome de la série. La course automobile n’étant pas vraiment ma tasse de thé, je craignais de m’ennuyer. Contre toute attente, j’ai passé un très agréable moment de lecture.



« Le grand défi » avait d’abord été publié sous forme de feuilleton dans le Journal de Tintin en 58 puis sous forme d’album l’année suivante. Bien sûr, la date de création de la B.D se ressent tout au long de la lecture. Ce 1er volet dégage un côté désuet et suranné qui, selon moi, rajoute indéniablement un charme. Et oui, je trouve que parfois ça fait du bien les bons sentiments, un héros positif et un adversaire finalement pas si méchant. Si je voulais absolument pinailler je pourrais souligner que les scènes du quotidien sont assez bavardes, très naïves et un peu figées. En revanche, j’ai trouvé que les scènes de course étaient formidables. Très rythmées, bien cadrées et surtout très bien découpées, j’ai trouvé ces scènes très modernes dans leur dynamique.



Je ne pensais pas m’intéresser à une histoire de formule 1 et pourtant ça a bien été le cas. Si les passages entre les courses ont un peu vieilli, j’ai adoré les courses en elles-mêmes. Je comprends que les gamins se soient passionnés pour les aventures de Michel Vaillant. En lisant ce « grand défi » j’ai retrouvé une âme d’enfant. Une très bonne B.D de sport.

Michel Vaillant , scénarisé et déssiné par Jean Graton , ce fut , pour commencer , quelques planches dans le journal Tintin . Le Grand Défi , paru en 1959 , ouvre le bal d'une série qui en compte à ce jour 72 !



Un album qui fleure bon l'ancien temps . Des dessins plutot simples , des couleurs pastels , des protagonistes aux dialogues un brin surannés évoluant dans des décors minimalistes et ça fonctionne toujours ! Ce 1er album évoque la confrontation de Michel Vaillant et du ricain pur jus , Steve Warson , dans le but de désigner le plus grand pilote de la planete . Mazette , ça rigole pas ! Pour ce faire , ces deux champions s'affronteront sur cinq courses , dans une ambiance de duel épique à la Ennio Morricone . Et là , on sent que Graton s'est fait plaisir en mélangeant allégrement les genres puisque Formule 1 ( Francorchamps , Nurburgring ) , endurance ( 24 h du Mans ) et Indy Car ( Indianapolis ) se succedent au fil des pages dans un rythme infernal susceptible de nous faire prendre une prune pour défilement de pages excessif ! Et voilà , moins trois points sur ton permis de lecture ! Merci qui ? Merci m'sieur Graton...

En 1959 , pas de chaines télévisées à meme de retransmettre , alors , cet univers automobile . Au travers cette série , l'on sent tout l'amour de l'auteur pour ce sport encore confidentiel . Tout y est . L'ambiance des grands prix , la tension , la peur d'y rester , le doute...Les crayonnages , meme s'ils sont encore loin d'avoir une puissance évocatrice qui viendra un peu plus tard , sont deja suffisamment maitrisés pour évoquer cette sensation de vitesse qui fait tout le sel de sport de malades ! Belle retranscription des divers sites évoqués qui peuvent deja donner un aperçu de ce que sont les ambiances de grand prix ! De plus , Graton se fend de quelques astuces plutot interessantes sur le milieu qui viennent ajouter à l'interet du récit !

Le contexte fait doucement rigoler de nos jours . En effet , cette usine Vaillant , fleuron de l'automobile française ou ouvriers et patron se respectent et s'apprécient , tirant tous dans la meme direction dans une ambiance de fraternité sereine , modele dépassé ! Quoi qu'il en soit , usine familiale par excellence ! Papa dirige , Jean-Pierre , le frangin , y est ingénieur et Michel son porte drapeau .

La psychologie des personnages frise la caricature mais est de bon ton , raccord avec l'époque et le public visé . Michel , en fils aimant et prodigue alors que Steve a tout du sale type imbu de sa personne mais cependant franc du collier . Manichéisme , quand tu nous tiens...

Un premier album réussi , posant deja les bases de ce que seront les diverses aventures de ces deux héros aussi différents que complémentaires . Steve et Michel auront , en tout cas , fait voyager et frémir le doux gamin boutonneux et reveur que j'étais à l'époque …

Une saga qui ravira aussi bien les amoureux du sport mécanique que ceux trouvant ça un tantinet longuet à la télé...



Le Grand Défi de Graton , pari réussi haut la main !!! Vravraouuuuum !!!

Jean Graton avait bien conscience que la course automobile pure ne pouvait constituer l'unique ingrédient des aventures de Michel Vaillant.

Après Route de Nuit et avant Concerto pour Pilote, Michel va donc faire de la cascade pour le cinéma... L'occasion, pour le pilote, de retrouver un ennemi assez rancunier...

Il est certain que les premiers tomes de cette série ont pris un sérieux coup de vieux. Et pourtant j'avoue avoir été surpris par la qualité du suspense, mais ce n'est pas ce que je retiendrai principalement. Je me suis amusé à y dénicher tous les détails sur la présentation de la femme dans cette aventure, et j'ai bien ri, les hommes parlent de bagnoles, de cylindres, de pneus, de courses, et les femmes, de rôti, de tricot, et elles s'inquiètent pour leurs hommes avec leur bolide, mais aussi parce qu'il devraient aller chez le coiffeur ! Non mais, sérieux ! un garçon bien élevé comme Michel, qui vit chez ses parents, avec un maman qui lui prépare des bons petits plats et un crucifix au dessus de son lit dans sa chambre, il ne va pas se laisser pousser les cheveux longs quand même, bon, les cheveux de Michel ne doivent pas dépasser 6 ou 7 centimètres mais c'est déjà beaucoup trop : “Tu as l'air d'un romanichel !” Ah, les mères !

je soupçonne cependant un peu d'ironie chez l'auteur.

Maintenant, si vous voulez savoir qui va gagner la course, il vous faudra lire la bande dessinée.

Jean Graton, dessinateur – scénariste qui avait lié l’essentiel de sa carrière à un personnage de fiction, Michel Vaillant, très ancré dans la réalité du sport automobile, est décédé le 21 janvier 2021. Une occasion de relire cette (très) longue série BD, très représentative de l’école franco-belge.



Ce huitième tome date de 1962-63. Après sa publication en épisodes dans le magazine Tintin, il fut édité en album en 1965. Michel Vaillant forme une école de jeunes pilotes prometteurs en choisissant sept as du volant venus de tous les pays. Il accepte finalement un huitième candidat, un jeune russe, Nicolas Olensky. Cette arrivée déplaît fortement au fougueux pilote américain Roy Johnson, qui se braque contre le Russe. La zizanie s’installe entre les élèves du team Vaillant, alors que Michel Vaillant cherche malgré tout à faire cohabiter tous ses talents.



Cet album est l’exemple de la BD familiale des années soixante. Pleine de bons sentiments, mettant largement en scène une famille idéale et des relations saines entre sportifs de haut niveau, Jean Graton choisit d’ignorer la guerre froide qui sévissait alors et de proposer le thème de l’union autour de la compétition. Les dessins (et bien entendu les lignes des voitures) sont remarquables. Un des bons albums de la série.

Ce deuxième tome de la série est l’un de mes préférés.

Tout y est : de l’action, des rebondissements, de l’humour, du suspens, des histoires de famille. Même la guerre froide s’invite au menu!



Alors que Michel s’apprête à courir le grand prix de Monaco, un mystérieux pilote s'entraîne sur différents circuits. Personne ne sait qui il est, mais il va vite et s'avère un redoutable adversaire.

Dans le même temps, Steve Warson, désormais ami de Michel, débarque en Europe pour affronter des pilotes russes qui se lancent dans la course automobile sur de nouvelles Zvezdas.

Un épisode de Michel Vaillant qui prend l'air (marin) loin des circuits automobiles.

C'est loin d'être inintéressant, et le récit est agréable à lire.

Les deux amis, Steve et Michel, prennent une dimension moins...mécanique.

Madame Vaillant a fait un mauvais rêve : Michel se tuait aux 24h du Mans dans un accident provoqué par une voiture rouge portant le numéro 13.

Heureusement, cela ne peut pas se produire car ce numéro n’est jamais attribué en course.

Malgré tout, l'inquiétude reste présente, et quand l’écurie des Texas drivers demande à avoir ce numéro, elle grandit, d’autant plus que l’un des pilotes, Bob Cramer, a un compte à régler avec Steve Warson.



Ce cinquième tome nous fait aller au bout du suspens dans des 24h du Mans sous haute tension.

Mais il y a aussi une pointe d’humour avec l’apparition du personnage de Françoise Latour.

Cela donne donc un album très réussi.

Michel Vaillant, c'était de l'aventure automobile et aussi la découverte de tous ces anciens circuits de l'époque, avec des voitures mythiques. Vroum, vroum.



Pour ma part, je préfère les anciens albums et celui-ci a toujours fait partie de mes préférés parce qu'il mélange les genre : sport auto, enquête policière et des disparitions version "Les sept boules de cristal".



Ach, nous zommes en Allemagne, à quelques jours de la célèbre course du Nurburgring.



Michel Vaillant et plusieurs pilotes sont invités par un châtelain, fan de sport automobile, qui crèche dans un château digne - non pas des Mille et une nuits - mais d'un château-fort. Das is a kollossal Schloss.



Mais comme dans le livre de Hergé, voilà que des champions automobiles disparaissent les uns après les autres. Malédiction ? La cuisine n'était pas bonne ? La choucroute pas fraiche ?



C'est sans compter la présence de l'ami Michel qui porte bien son nom de "Vaillant" et de Steeve.



Non, mais, vous croyez qu'ils vont se laisser faire ? Que nenni ! Tels Holmes et Watson, ils vont mener l'enquête pour retrouver les disparus sinon, vont devoir faire la course à deux, à ce rythme là.



Je vous le disais, digne des meilleurs polars en vase clos avec une touche de passage secret, le tout trempé dans le cambouis.



Ici, le scénariste n'a pas coulé une bielle, les rouages tournent au poil et ça carbure à mort.



Achtung, du tout bon Michel Vaillant !

Un album un peu raté à l’image de sa couverture.

Néanmoins, il introduit de nouveaux personnages et une pointe de suspens en dernière page qui laissent à penser que le prochain tome sera plus intéressant.



L’histoire tourne autour d’une course de karting à Bercy, et le dessinateur se fait plaisir avec une course poursuite dans les rues de Paris.

Steve est tourné en ridicule et Michel se fait abuser, le tout étant un peu caricatural. Ce n’est pas ce qu’on attend d’un album de Michel Vaillant.

Jean Graton, dessinateur – scénariste qui avait lié l’essentiel de sa carrière à un personnage de fiction, Michel Vaillant, très ancré dans la réalité du sport automobile, est décédé le 21 janvier 2021. Une occasion de relire cette (très) longue série BD, très représentative de l’école franco-belge.



La publication en album de ce tome date de 1977. Suite à un mic-mac avec l’éditeur, ce fut le dernier chez Le Lombard.



Un inconnu, aristocrate anglais apparemment richissime, débarque dans le circuit de la F1 avec un tout nouveau véhicule qu’il a lui même conçu et qui s’impose d’emblée comme le plus rapide, même si le pilote manque d’expérience. Pourquoi cette soudaine réussite ? « Le prince blanc » est-il un génie de la mécanique ou un tricheur ? Le public prend vite le parti de ce nouveau venu qui bouscule la hiérarchie et à la personnalité étonnante.



Ce tome présente une vraie intrigue : le lecteur cherche autant que la famille Vaillant à comprendre comment le prince blanc réussit l’impossible. Une excellente idée de retournement final vient parachever ce bon album.

Pas le meilleur Michel Vaillant, loin de là!

Assez caricatural et manichéen, l'album se veut quelque-peu moralisateur.

cela sent un peu le "surjoué" et le "tourne en rond".

Dommage.

Il reste quand-même l'ambiance des circuits automobiles...

A première lecture, j’ai eu du mal à situer cet album dans la chronologie de la série, et ce n’est qu'après que j’ai compris qu’il s’agissait d’une adaptation du film (pourtant le nom de Luc Besson dans les scénaristes aurait dû me mettre la puce à l’oreille!).

Le scénario est en fait un mélange de plusieurs histoires, notamment Le 13 est au départ (pour le cauchemar de Madame Vaillant), un pilote a disparu (pour l’enlèvement au Mans), une histoire de fous (pour le volant confié à Julie Wood). Mais cela donne une intrigue de bonne facture (sans être exceptionnelle), cohérente et rythmée à partir d’un point de départ dramatique : la mort du pilote David Dougherty dans un accident provoqué par un sabotage de Bob Cramer lors du rallye d’Irlande.

J’ai donc bien aimé cet album atypique qui m’a donné envie de voir le film.

Contrairement à ce que la couverture pourrait laisser penser, le Leader n'est pas de retour. Le nouveau Leader, c'est Steve Warson, dont Ruth veut faire le maître du monde!

Mais pour ce faire, il doit être intronisé à la tête du groupe Leader par un comité de sages asiatiques qui a quelques doutes malgré sa confiance en Ruth. Pour leur prouver ses capacités, Steve doit devenir champion du monde de F1, ce qui semble bien parti vu les performances de la nouvelle voiture Leader.



Cet album de bonne facture continue à faire avancer l'histoire entre Steve et Ruth sur fond de rivalité Vaillante/Leader. Il y a un bon équilibre entre les scènes de course et les scènes plus psychologiques expliquant les relations entre les personnages et leur motivation.

L’histoire de fous, c’est Steve Warson courant les 24 heures du Mans sur Leader! Tout cela pour une rivalité avec Jacky Ickx!

Cela pourrait semble drôle si dans l’affaire (qui trouve son origine à la fin de l’album précédent), Steve ne risquait pas une nouvelle fois de tout perdre: sa fiancée Julie Wood, ses amis Vaillant, et bien sur la course en elle-même.

En tout cas, cela donne un excellent album comme souvent dans la série quand le scénario s’appuie sur la rivalité entre Vaillante et Leader et sur les relations entre Steve, Ruth et Julie.

Et la course est évidemment palpitante avec un gros suspens.

Jean Graton, dessinateur – scénariste qui avait lié l’essentiel de sa carrière à un personnage de fiction, Michel Vaillant, très ancré dans la réalité du sport automobile, est décédé le 21 janvier 2021. Une occasion de relire cette (très) longue série BD, très représentative de l’école franco-belge.



Ce septième tome date de 1962 et évidemment fut publié dans le magazine Tintin. Michel Vaillant va participer en tant que cascadeur, sous l’égide de son ami Gil Delamare (dans la réalité un des grands cascadeurs de l’époque), à un tournage de cinéma. Dans le même temps, un ennemi mystérieux cherche à le discréditer aux yeux du grand public…



L’album a gentiment vieilli. Les dessins sont très réalistes. Le monde des cascadeurs est expliqué dans le détail, avec pas mal de données techniques sur les moyens de parvenir à effectuer des scènes spectaculaires de chocs de véhicules sans que les cascadeurs ne prennent trop de risques. Il est amusant de constater que dans les années soixante les média colportaient autant d’âneries qu’aujourd’hui, avec aussi peu de vérifications factuelles.

Dans cet album, nous sommes toujours en pleine guerre froide : les russes ont lancé un défi aux américains. Mais Henri Vaillant propose qu’une équipe européenne participe aussi à cette compétition qui se déroulera en trois épreuves redoutables.

Les européens semblent bien partis, quand leur équipe commence à être victime de sabotages, et une passagère indésirable, la peur, s’invite alors à bord de leurs voitures.



Ce troisième tome de la série, au contenu riche en rebondissements, est très réussi. Le scénario nous maintient en haleine, il y a du suspense et l’auteur sait nous faire partager la peur des pilotes.

A noter aussi qu’Agnes, la femme de Jean Pierre, tient un rôle un peu plus important dans cet album même si la vision de la famille est évidemment encore très datée.

Premier album d'une série mythique, Le grand défi oppose Michel Vaillant et Steve Warson (qui ne sont pas encore amis) au cours de 5 courses haletantes se déroulant sur le continent américain puis en Europe.

L'album a un contenu extrêmement riche (beaucoup de cases, beaucoup de textes) et le déroulement de chaque course est passionnant avec de nombreux rebondissements.

Alors bien sûr, le dessin et surtout les couleurs datent d'une certaine époque, les valeurs morales sont exaltées parfois un peu lourdement, les dialogues sont totalement surannés, le père Vaillant a une attitude paternaliste envers les ouvriers de son usine, la place des femmes dans la famille est datée, etc. Mais cela fait partie du charme de cette série et j'ai pris un plaisir nostalgique à relire cet album.

Après quelques galops d'essais avec des histoires courtes dans l'hebdomadaire Tintin, Michel Vaillant entame les choses sérieuses avec sa première grande aventure: Le grand défi.

Dans ce récit superbement mené au rythme des compétitions automobiles, apparaît Steve Warson le "bad boy" américain et futur grand ami de Michel Vaillant (un don du sang symbolique viendra sceller cette amitié à la fin de l'album...).

Passionnant, par la description des courses de l'époque et de la préparation des bolides au sein des usines Vaillantes; ce premier tome de la saga Vaillant est fort agréable à relire.

Quand j'ai lu Les récits tirés de l'histoire de Rome, je me suis souvenu du Hannibal et du Spartacus de l'oncle Paul. Et, très rapidement, d'autres noms me sont venus à l'esprit : Guynemer, le Notre, Gutenberg, Edison les frères Mongolfiers...



Grace à ces histoires, j'avais pris goût à l'histoire. Je devrais dire : "la petite histoire" mais, ce goût s'est ensuite développé pour rejoindre LA grande histoire.



Sur Babelio j'ai trouvé ce livre. En voyant "intégral" dans son titre, je m'attendais à retrouver toutes les histoires de ma jeunesse. Erreur, ce livre était consacré uniquement aux histoires que Jean Graton avait illustrées, passant presque sous silence les scénaristes qui ont écrit ces histoires. Il s'agissait d'Octave Joly, Jean Michel Charlier et Dino Attanasio.



J'ai retrouvé le même plaisir à revisiter les histoires que je connaissais déjà et autant de plaisir à lire celles que je ne connaissais pas. À l'époque je ne l'avais pas senti mais toutes ces histoires avaient un côté moralisateur.



Par contre, j'ai constaté que ce livre en particulier avait été édité pour les adultes nostalgiques de lectures de leur jeunesse. Les 30 pages de présentation du début s'adressent surtout aux adultes intéressés à en connaître plus sur Jean Graton et non aux enfants.



À recommander pour les enfants de 13 ans et plus et seulement s'ils sont éveillés et curieux de nature. En sautant par dessus ces pages.) Je suis personnellement resté sur ma faim, sachant qu'il me restait encore des centaines d'histoires à lire. Je vais donc tenter de mettre la main sur d'autres albums.