La conclusion du discours :
"Il suit de cet exposé que l'inégalité, étant presque nulle dans l'état de nature, tire sa force et son accroissement...des progrès de l'esprit humain et devient enfin stable et légitime par l'établissement de la propriété et des lois."
"...puisqu'il est manifestement contre la loi de nature...qu'une poignée de gens regorge de superfluités, tandis que la multitude affamée manque du nécessaire."