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Vidéos de Jean-Louis Barrault (5)
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ThibaultMarconnet07 janvier 2022
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Anton Tchekhov : La Cerisaie - mise en scène par Jean-Louis Barrault (1955 / France Culture). Diffusion sur la Chaîne Nationale (France Culture) le 9 janvier 1955. Peinture : Anton Tchekhov à Nice, en 1898 • Crédits : Portrait d'Osip Braz / Galerie Tretiakov, Moscou - Radio France. Mise en scène par Jean-Louis Barrault au théâtre Marigny dans des décors de Georges Wakhevitch, avec dans les rôles principaux : Jean Desailly (Lopakine), Nathalie Nerval (Douniacha), André Brunot (Firss), Nicole Berger (Ania), Madeleine Renaud (Mme Ranievski), Pierre Bertin (Gaiev), Simone Valère (Varia), Jean Servais (Pistchik), Jean Juillard (Epikodov), Marie-Hélène Dasté (Charlotte), Jean-Pierre Granval (Iacha), Jean-Louis Barrault (Trofimov), Régis Coutin (Le passant), Jacques Galland (Le chef de gare), Jacques Sempey (L'employé des postes), etc. Traduction de Georges Neveux. Direction musicale de Pierre Boulez. En introduction, André Ransan retrace l'histoire de la pièce, créée en 1904 au Théâtre d'Art de Moscou. En 1903, Tchekhov est à Yalta en Crimée pour soigner sa tuberculose. Il termine "La Cerisaie" en octobre de la même année. Elle sera créée au Théâtre des Arts Stanislavski de Moscou le 17 janvier 1904, le jour même du 44ème anniversaire de l’auteur. Ce sera la dernière sortie officielle de Tchekhov. Profondément affaibli par la maladie, il meurt le 17 juillet de la même année. "La Cerisaie" est une des œuvres les plus représentatives de la manière de Tchekhov. Jean-Louis Barrault la résumait ainsi : Premier Acte, La Cerisaie risque d'être vendue ; Deuxième Acte, La Cerisaie va être vendue ; Troisième Acte, La Cerisaie est vendue ; Quatrième Acte, La Cerisaie a été vendue. "La Cerisaie" est un vaste et beau domaine appartenant à la famille Ranievski qui doit être mis aux enchères pour rembourser les dettes de la famille. Selon Barrault toujours : « La pièce n'appartient ni au naturalisme selon la mode de 1904, ni même au réalisme, elle appartient à la vérité. Une vérité qui, selon ses deux visages, est faite à la fois de réel et de poésie. C'est, si l'on veut, du réalisme poétique, comme dans Shakespeare. »

00:25 : Présentation de la pièce par André Ransan
07:21 : Début de la pièce

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet02 octobre 2021
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Samuel Beckett : Oh les beaux jours avec Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault (1964 / France Culture). Photo de Samuel Beckett © Reg Lancaster / Getty Images. Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud dans “Oh les beaux jours” en 1967 • Crédits : Buhs/Remmler/ullstein - Getty Images. Présentation par André Saudemont. Mise en scène : Roger Blin. En 1964, France Culture proposait une captation de la pièce de Samuel Beckett “Oh les beaux jours” créée par Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault dans une mise en scène de Roger Blin, et jouée sur la scène du Théâtre de l'Odéon. Il s'agissait de la première mise en scène de cette pièce écrite en 1961 par Beckett. Diffusion sur France Culture le 16 février 1964. Présentation de la pièce : Au milieu d’un paysage de désert brûlé, une sonnerie stridente retentit. Winnie se réveille et vaque à ses occupations sous le soleil du zénith. Elle a le corps enterré dans le sable jusqu’au-dessus de la taille puis jusqu’au cou. Bien qu’absorbée progressivement par la terre, elle se sent légère et feint d’ignorer son ensablement. Avec une innocence gracieuse, elle prie, se prépare, discourt, fredonne, se plaint, se remémore des bribes de souvenirs, et fait l’inventaire de son sac et de ses objets familiers. Elle s’adresse à son tendre ami Willie, que l’on aperçoit à peine et qui pousse de temps en temps quelques grognements. Winnie s’accommode de son malheur avec grâce et joue à s’imaginer qu’elle vit de beaux jours. http://www.theatre-traduction.net/text42.html.

Source : France Culture
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videos16 mai 2021
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L'aspect monumental de la pièce "Le soulier de satin" (1929) de Paul Claudel a fait qu'elle n'a été montée que deux fois dans son intégralité : d'abord par Antoine Vitez à Avignon en 1987, puis par Olivier Py en 2003. Jean-Louis Barrault avait travaillé avec Paul Claudel pour une réécriture de la pièce d'une durée de cinq heures, pendant le couvre-feu de la Seconde Guerre mondiale en 1943.

Depuis le début de la pandémie, la Comédie-Française a mis en place de nombreux programmes pour garder le contact avec le public et continuer à créer. Depuis novembre, la "Comédie d'automne" diffuse chaque samedi un "Théâtre à la table". Une pièce préparée en six jours. L'occasion rêvée pour présenter l'intégrale du "Soulier de satin", pendant quatre semaines consécutives, en suivant le découpage des quatre journées de Paul Claudel.

Eric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française, a fait la direction artistique de la première journée (Gilles David, Thierry Hancisse et Christian Gonon dirigent respectivement les trois autres journées), à la suite des autres metteurs en scène du "Soulier de satin."

Didier Sandre, lui, est l'un des acteurs les plus habitués à cette pièce : s'il joue le Père jésuite dans la première journée, il interprète Don Rodrigue dans la quatrième, rôle qu'il avait tenu lors de la présentation intégrale d'Antoine Vitez au festival d'Avignon en 1987.
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videos30 juillet 2020
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23 janvier 2013 :

Un portrait de Christian Dior ? Oui, mais aussi un miroir dans lequel Francis Huster se regarde et regarde les femmes. Dans ce roman à la fois vrai et fantasmé, où l'on croise son copain d'enfance Patrick Dewaere, Jean-Louis Barrault ou Jean Marais, le comédien s'intéresse aux dernières années de Christian Dior, celles qui ont vu le succès d'un homme, d'un style et d'une marque. En se racontant au travers de l'histoire de Dior, Francis Huster évoque sa mère couturière, ses souvenirs de théâtre, ses rencontres, ses rêves et le parfum envoûtant des années 1950. C'est surtout, dans un style très personnel, enthousiaste et inventif, le prétexte à un éloge de la folie créatrice, de l'excellence française dans ce qu'elle a de plus admirable, de plus élégant, mais, avant toute chose, c'est une déclaration d'amour à celles sans qui Christian ne serait jamais devenu Dior et qui, sans Dior, ne seraient pas tout à fait les mêmes : les femmes.
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videos19 juillet 2019
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En plein Festival d'Avignon, on s'interroge : qu'est-ce que c'est que le théâtre, au fond ?

"Le rendez-vous des hommes seuls" pour Jean-Louis Barrault, "une lumière dans l'obscurité" pour Ariane Mnouchkine, un endroit où "on s'ennuie" pour Michel Simon... Et pour vous, c'est quoi le théâtre ?

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