L’édifice est paré de matériaux variés tels que pierres, débris de mosaïque et de vaisselle, coquillages, fonds de bouteilles, verre pilé, dont résulte une brillante polychromie comparable à celle des constructions du parc Güell de Gaudi, à Barcelone. Rodia s’en allait faire sa récolte à la nuit tombante, un sac sur l’épaule, dans le but de transformer les déchets de la grande ville en une œuvre de beauté.