Les hommes n'aiment pas la vie et pourtant ils ont peur de la mort, poursuit-elle en continuant à le fixer , son corps tout contre le sien. Et c'est pour ça qu'ils traînent cette amertume, cette violence, ce besoin de construire, de se perpétuer, d'imprimer leur marque sur cette terre. Pauvres hommes qui n'existent pas si ils ne gravent pas leur nom sur l'écorce d'un arbre...