Jean-Louis Janssens

Qui ne connait les experts ... ici une BD avec certains gags bien cocasses ou les flics de la scientifiques et medecin légiste sont de vrais bras cassés.



C'est assez drole, les blagues sont parfois un peu lourdingues mais c'est ce qui donne tout l'interet a cette BD.



J'apprécie, ça prete a sourire et parfois même a rire aux éclats... certaines chutes valent de l'or... la culture générale et les valeurs morales des personnages aussi.

Karma est un petit diablotin qui travaille dans un cirque rempli de démons en tous genres. Borrini et Janssens ont imaginé un monde parallèle, entrant en interaction avec le nôtre, mais les anges sont en réalité les méchants, et les diables, vampires, spectres et toute la faune d’Halloween sont du côté des gentils. Chassés du monde parallèle, ces démons se sont reconvertis dans le spectacle de cirque. C’est un foisonnement d’idées farfelues, un clown qui tue avec des histoires de Toto (morts de rire !), des anges armés de mitraillettes, des voyages dans le temps, et d’un monde à l’autre, c’est parfois un peu confus, fouillis, mais bien délirant au final. Le graphisme est classique, dans le registre de ce qui se publiait dans la revue Spirou dans les années 2000, dynamique, burlesque, expressifs mais avec en plus une pointe d’onirisme baroque rafraîchissant. Malgré la confusion qu’apporte cette profusion, j’ai aimé cette bande dessinée, plaisante, distrayante, assez drôle et originale avec des personnages vraiment sympathiques.

Des planches à gags (pas toute de même niveau) qui présentent des « scientiflics » demeurés et franchement nuls dans des situations cocasses. Les boulets de la police scientifique, ce sont eux !

Ça pourrait être rébarbatif, mais le fait d’intercaler également des histoires dont les méchants sont les héros rafraichit le tout et donne un petit côté humour noir plaisant.

Divertissant, dommage que la série soit arrêtée.

L'histoire initiée dans le tome un continue de façon très classique et même, malheureusement, très prévisible.

Les bonnes idées de la série se résument, finalement, à quelques gags et la trame principale est peu innovante.

Mais, toutefois, ça se lit sans déplaisir et reste plutôt distrayant.

Premier tome plutôt sympathique pour cette série fantasy plutôt mignonne mais qui n'est pas dénuée de bonnes idées.

Je regrette le côté cartoon de la petite Zarla comparativement aux autres personnages (et elle est vraiment trop petite) sinon, j'aime beaucoup les autres personnages et les secrets qu'ils cachent inévitablement.

Le chien Hydromel est particulièrement réussi et attachant.

J'attend de voir la suite pour me faire une idée plus affirmée mais jusqu'ici c'est plutôt accrocheur.

Zarla est une héroïne toute jeune, à peine 8 ans je pense, qui ne cesse de vouloir faire honneur à ses parents disparus subitement.



Les personnages, tous plus truculents les uns que les autres (pour ma part, j'adore la servante et géante Gerda), évoluent dans un monde de fantasy, parmi des dragons que combattent les chasseurs de dragons aidés des Azra, qui ont un don particulier.



Ce monde en soi est fascinant mais c'est surtout l'humour de cet album que je retiendrais. Un humour qui doit beaucoup à la situation cocasse de départ : Zarla est persuadée d'être une guerrière aussi terrible que ses parents alors que c'est son "chien" Hydromel, qui la sort de toutes les situations dramatiques où son intrépidité la pousse. Car Hydromel n'est pas n'importe quel chien : il peut se transformer en redoutable monstre bipède, rouge aux yeux verts.



Le travail du dessinateur et du coloriste sont plutôt bons, même si je n'y vois rien de très original.



Une BD plutôt axée jeunesse, qui fait sourire et nous détend le temps de la lecture. Il ne faut pas lui demander autre chose, mais avouez que ce n'est déjà pas si mal.



Challenge BD 2017

Zarla a le sang des chasseur de dragons qui coule dans ses veines. Son père est rapporté mort. Sa mère, possédant le pouvoir de figer les fragons, est passée à la rébellion. Pourtant Zarla, haute comme 3 pommes, reste optimiste et saisit la vie à belles dents. Son protecteur est un vieux chien servant à traquer les dragons, un bull-dragon, Hydromel... mais à chaque danger qui se rapproche de Zarla, grâce à l'enchantement sur l'amulette qu'elle porte à son cou, le chien se transforme en bull-guerrier, bipède rouge terrifiant. Nul ne lui résiste.



Et Zarla insouciante continue à se croire intouchable, invincible et trace dans la vie à un rythme effréné. Elle est adorable, craquante et ne doute de rien. Pour compléter le tableau heroic-fantasy, Zarla est élevé par son grand-père et par une géante.



Un jour elle surprend une conversation entre ses deux précepteurs. Son père serait vivant. La voilà qui part à l'aventure vers ce père qu'elle pensait mort. Je vous épargne les péripéties comiques (mais parfois un peu répétitives). Retrouvera-t-elle son père? Et que lui dira-t-elle? Et s'il ne voulait pas lui parler? Et ne serait-ce pas sa mère qu'elle voit s'enfuir un jour dans une ruelle? A force de vouloir voir sa mère, ne projette-t-elle pas ses désirs à chaque coin de rue?



Une BD très bien foutue avec une héroïne craquante et fragile, innocente et fort tout à la fois. Mérite le détour àmha.

Suite et fin... eh oui, les bonnes choses ont une fin. Sans vraiment que l'on comprenne pourquoi, les auteurs ont décidé de boucler la saga de Zarla en 5 tomes, terminant sur une non-fin.



Soit.



Le dessin est plus sombre, plus sérieux. Le propos également. Deux personnages viennent se disputer la vedette. Fafnar est un prédicateur aux sombres desseins. Il envidage de bouter le vieux peuple des villes, reléguant les lutins, géants, centaures... à l'oubli. Pendant ce temps, Zarla a rencontré Udvar, un moine qui ambitionne de décrypter les écritures sur de vieilles pierres racontant les origines des peuples.



J'ai bien aimé l'ensemble. Il y a un rythme (sans doute pas toujours bien maîtrisé) et surtout un souffle épique qui pousse le récit vers l'avant. Le lecteur est happé et cela ne s'arrête qu'à la dernière page. Même si je ne suis pas OK avec tout, je trouve qu'il y a tellement de BD dépourvues d'âme, que celle-ci mérite le détour.

Karma est un diablotin qui vit a Outrelieu, un pays ou les zombies, les vampires, les fantômes en tout genre vivent sous la domination des anges.

Il traverse la brume du sommeil et rejoint notre monde....

Super décallé comme j'aime, dessins sympas même si par moment un peu simplistes.

j'ai adoré!

Ne vous étonnez pas si vous ne trouvez pas de billet sur les tomes 1 et 2. Je ne les ai pas lus. Mais quand Babelio a proposé cette bd dans une opération Masse Critique, le thème m'a tellement plu que je n'ai pas pu résister. Et j'ai bien fait!





Le tome 3 se lit sans problème sans les deux premiers puisque la première page présente les personnages et les faits importants dont on pourrait avoir besoin. Bien sûr cela doit être plus agréable en ayant lu le début mais on comprend facilement l'histoire.





On découvre donc Zarla, une adorable petite fille, accompagnée d'Hydromel, son chien. Celui-ci doit la protéger sans qu'elle sans rende compte et c'est ça qui est vraiment très amusant. A chaque fois Zarla pense que la colère l'a aveuglée, alors que c'est le chien qui essait de l'empêcher de voir tout en combattant. La pauvre bête a beaucoup à faire!





Les personnages sont très sympathiques, surtout nos deux héros. Les méchants sont agaçants à souhait. Même si on aurait aimé quelque chose d'un peu plus développé. Mais je suppose que ça va mieux avec les deux premiers tomes.





Les dessins sont vraiment très chouettes. A la fois innocents et très héroïc-fantasy. On sent bien l'atmosphère des lieux. Les sentiments des personnages. Les couleurs sont superbes.





L'histoire est vraiment bien trouvée. A la fois amusante et touchante. Un mélange entre Lou et Lanfeust de Troy.





J'ai vraiment passé un bon moment et compte bien me procurer les tomes précédents.

Zarla est la fille de Wulfrid, chasseur de dragon et de Warda, une Azra. Elle possède donc le Pouvoir, elle peut figer quelques instants les dragons et assurent ainsi la sécurité du chasseur. Mais peu de temps après la naissance de Zarla, ils partent tout deux avec leur meute de Bull guerriers et ne reviennent pas. Zarla grandit alors au chateau familial avec son grand-père, ancien chasseur de Dragon et Garda, une géante qui élève l’enfant. Zarla a pour compagnon Hydromel, un bull guerrier dont la mission est de la protèger. Il est lié à elle par un médaillon qu’elle doit porter constamment. Les Bull guerriers sont des créatures peu ordinaires. Sous des airs de chien tendre et paresseux, se cache un vrai guerrier. Un aspect de lui que Zarla ne connait pas. Alors quand elle décide de suivre l’exemple de ses parents et de partir en guerre contre les bandits des grands chemins, Hydromel a beaucoup de travail. Surtout quand il doit s’arranger pour que Zarla ne s’aperçoive de rien.

...

Voici une BD bien sympathique avec une héroine tout en rondeur et adorable. Les quelques scènes créent par l’intrépidité de Zarla et les manoeuvres d’Hydromel pour la protéger sans qu’elle le sache créent des situations cocasses. Surtout quand Zarla pensant être celle qui fait peur commence à prendre confiance et à se lancer dans de plus grands défis
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Comment ne pas tomber sous le charme de l’adorable Zarla ? Si jeune et donc aveugle à la réalité du monde qui l’entoure. Elle ignore totalement ce qu’est vraiment la méchanceté humaine, la souffrance, la douleur, les blessures… Elle reste innocente face au monde qui l’entoure. L’idée de combattre des dragons est juste des images qui viennent de son imagination. D’autant plus que Guilhem lui a donné l’apparence d’une adorable fillette blonde avec de grands yeux bleus et un jolie sourire. On ne perçoit en elle que la candeur et une témérité touchante. Hydromel, le bravo gentil toutou se transforme en adversaire talentueux. Il passe d’un chien beige à 4 pattes avec quelques cicatrices et une oreille abîmée à un géant à deux jambes tout rouge et yeux globuleux comme sur la couverture. Une transition aussi surprenante que drôle. L’humour est présent un peu partout aussi dans les comiques de situation que de répétition tel des personnages volant un peu bougon qui finissent par se faire manger ou des mots ainsi Hydromel, le chien. Maintenant tous les personnages sont installés ainsi le décor celtique signe des aventures d’héroïc fantasy pleine de surprise. Une belle initiation jeunesse à un genre encore peu connu à cette âge. Que va nous réserver la suite ?
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On quitte peu à peu l'innocence des deux premiers tomes. On était dans un contexte "bon enfant", avec Zarla qui avait le chic d'essayer de croiser le fer avec les brigands, et Hydromel son bull-guerrier qui intervenait par derrière.



Le grand-père de Zarla et Garda, sa nourrice géante, lui ont menti. Les parents de Zarla sont en vie. Son père est un chasseur de dragon. Sa mère les protège. Elle vit en étroite relation avec un dragon blanc, animal de légende, celui-là même qui a défiguré le père de Zarla.



Zarla est utilisée à son insu par les Valras. Le ton du tome se durcit. On a un plan machiavélique pour atteindre Warda, la mère de Zarla, et l'éliminer. Le tome se cloture sur un combat épique mettant en scène tous les protagonistes, avec l'apparition du dragon blanc comme point d'orgue.



Je suis toujours aussi convaincu de l'intérêt de la série. Le dessin est efficace, le scénario mélange adéquatement fantasy, humour, sorcellerie... Même si ce n'est pas 100% original, c'est très efficace.

La couverture contient une petite astuce qui permet de changer l'image que l'on voit selon l'inclinaison donnée à la BD. Un coup on a un chien beige, sorte de dogue... un coup on a le même chien se tenant sur 2 jambes et affichant un rictus féroce. En contrebas, une petite gamine habillée en guerrière. Le ton est donné.



Dans l'héroic fantasy, il n'est pas toujours facile d'innover. Le genre a tellement été battu et rebattu.



Ici, Zarla est une petite fille suivie comme son ombre par Hydromel, un chien de garde. Sauf que ce chien se change à volonté en un guerrier terrible. Du moins tant que Zarla possède une amulette autour du cou. Or, Zarla se croit toute puissante et invincible... Merci Hydromel. Mais Zarla ne le sait pas. Les quiproquos sont assez cocasses, mais les gags sont un peu tirés en longueur. Donc on rit au début et on est un peu lassé à la longue.



La mère de Zarla était une chasseuse de dragons, jusqu'à ce qu'elle déserte et passe du côté des dragons. Une déserteuse. Une rebelle. Une paria. Ajoutons le grand-père très comique. Une servante géante à la force inouïe. Et on a un univers fort sympa, riche et assez novateur. Au final, une bonne BD jeunesse.

c`étais cool

Zarla est la petite fille de chasseurs de dragons déclarés morts depuis longtemps. Sauf que cela est faux et que Zarla l'apprend, et décide de partir à leur recherche.



J'ai beaucoup aimé cette BD, il est rare qu'une bd fantasy ai pour héroine une enfant! De plus, Zarla est courageuse, forte et fragile à la fois, donc très attachante.



L'histoire en elle-même est très intéressante, surtout celle des parents qui doivent éviter leur fille pour la préserver et se garder en vie



Ce 3eme tome m'a donné envie d'en savoir plus, et je compte donc acquérir rapidement les 2 premiers!

Que s'attendre pour un album de fin de série à part quelque chose qui clôture vraiment? Ce tome 5 ne termine absolument pas les aventures de Zarla. On aurait pu s'attendre à un bon dans le temps surtout pour une fillette qui ne connait rien au monde. Janssens en a décidé tout autre chose. D'ailleurs, il propose une histoire plus sombre, en parlant d'intolérance, de haine et de violence. Un prédicateur extrémiste monte les gens les uns contre les autres surtout quand il est question des anciens peuples. Et Molfrig, le tyran local va même leur interdire l'accès à son royaume. Les gens n'ont pas de limite quand il est question de convertir quitte à tuer sans raison. La dessous on rajoute la question des origines, une base forte chez tous les intégristes de tout bord. Une question qui remet en cause la structure des fondamentalistes tous les horizons confondus. Des thématiques graves qui sont toujours d'actualité malgré les années qui passent. Mais là on vient à se demander comment on passe d'une petite fille qui veut devenir combattante avec un chien spéciale à ça? Et surtout achever une série sur le fait qu'une enfant d'à peine 8 ans vient de tuer un homme sans le faire exprès? On reste vraiment sur notre faim. Quel dommage alors qu'il y avait tellement de potentiel.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de lire une aventure de Billy The Cat, le petit garçon transformé accidentellement en chat.



J'aime bien les chats, surtout quand comme ici, il s'agit d'une longue histoire, pas de petites planches successives.

Une histoire un peu policière, un peu aventure. Création par un laboratoire d'un "prototype" d'animal conçu pour plaire au plus grand nombre, mais qui sème aussi un peu la pagaille.

Rien exceptionnel, mais c'est mignon, agréable à lire,avec un peu d'humour et de suspens.

Zarla est une jeune orpheline élevée par sa géante de nourrice et son grand-père, issue d'une lignée de chasseurs de dragons. Avant de partir au combat, ses parents lui ont laissé Hydromel, un chien de guerre, qui a pour mission de protéger la petite fille sans qu'elle ne s’aperçoive de rien. Cependant, la petite fille est bien décidée à devenir aussi illustre que ses parents comme chasseuse de dragons.



Une BD pour la jeunesse vraiment drôle, parfois attendrissante, avec action, violence et situations comiques.

Une bonne découverte !

Zarla, petite fille se croyant féroce guerrière, et encouragée par son grand père, cherche l'action continuellement afin d'infliger des dérouillées aux brigands avoisinants. Heureusement ces parents avaient prévu le coup et l'ont protégé lui offrant un fidèle compagnon Hydromel, devenant un redoutable Bull-guérrier, dés qu'elle à les yeux fermés...



Dans ce tome, Zarla aura à faire à Fafnar terrible prédicateur extrémiste doté d'un pouvoir permettant de monter le nouveau peuple contre le "vieux peuple".



Ce tome aborde donc le thème de l’extrémisme et du racisme avec dérision et innocence.



Un très bon tome.