Mais cette réforme (effectuée par Marius, l'oncle de Jules César) qui débouche sur une armée de métier a un effet pervers. Les soldats sont plus enclins à prendre le parti de leur général que celui de la république.
"Lorsque la Providence suscite des hommes tels que César, Charlemagne, Napoléon, c'est pour tracer aux peuples la voie qu'ils devront suivre, marquer du sceau de leur génie une ère nouvelle, et accomplir en quelques années le travail de plusieurs siècles. Heureux les peuples qui les comprennent et les suivent ! Malheur à ceux qui les méconnaissent et les combattent !"
Napoléon III, Histoire de Jules César, Tome I.