Nous voici dans le fleuriste[4] : une large allée centrale, droite jusqu'à l'escalier qui allait rompre au fond le mur de soutènement des terres et donner accès à l'étage inférieur (troisième niveau qu'un autre mur viendrait bientôt épauler, lui aussi, pour redresser le sol et séparer du chemin assez bien empierré qui mène, venant du bourg, jusqu'à la Templerie d'Echerbay, quelques maisons, une petite église) (p. 54).