J'ai été frappé au cours de ces différentes expériences traumatisantes de constater qu'au final, la parole de celui qui mourait n'intéressait pas plus que cela.
Parfois même, les soignants avaient tendance à infantiliser les patients et à considérer chaque jour de vie gagné comme une victoire pour eux-mêmes.
Moi, je trouvais surtout qu'il s'agissait surtout du triomphe de l'agonie et d'une souffrance que personne ne voulait entendre.