Le football est bien une forme de tyrannie et d’aliénation parce qu’il favorise la chloroformisation des esprits, l’obnubilation des médias et la sidération des masses : des matches, des buts, des anecdotes, des olas, des hurlements, des insultes, toute la panoplie de l’infantilisation et de la régression au service d’une entreprise de décervelage ou de lavage de cerveau.