J’aime énormément mes enfants, Jérémie et Cloé. Je veux qu’ils volent. Je veux qu’ils s’envolent. Je veux qu’ils soient heureux. Mais le bonheur des enfants n’est pas du seul fait des parents. Il y a le reste du monde. Il y a la vie. J’ai terriblement peur qu’il leur arrive malheur, et le malheur je n’en veux plus. Plus jamais.