" La très chère était nue/Et, connaissant mon cœur/Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores… /Sous tes souliers de satin/Sous tes charmants pieds de soie/ Moi je mets ma grande joie/Mon génie et mon destin/J’eusse aimé vivre auprès d’une jeune géante/Comme aux pieds d’une reine/Un chat voluptueux." À quelle figure peinte d'un tableau célèbre ce poème de Baudelaire écrit en 1876 s'adresse-il ? (Poupée mécanique)