L'été approchait. Les rayons de soleil dansaient sur les vitrines des magasins. La marque la plus évidente de la venue des beaux jours se manifestait par le festival des corps qui se dénudaient. Pourquoi les jeunes filles prennent-elles tous les prétextes pour exhiber les parties intimes de leurs corps : partout sur les trottoirs, à la terrasse des cafés, ce n'étaient que cuisses offertes, pieds nus, poitrines découvertes, laissant entrevoir un mamelon sous des chemisiers dégrafés. Pour moi, c'était un supplice.