Le Mytho.
Gilles, que les gars de la rue surnomment « le Mytho », s’installe toujours au même endroit (…)
Il raconte n’importe quoi. Il dit trouver régulièrement des liasses de billets. (…)
Je ne sais pas où il va dénicher ses conneries. Personne ne le croit, mais il continue à délirer. Il ne se rend même pas compte que tout le monde rigole de ses histoires. (…)
Il est dingue, le papier est resté collé au bonbon et, manifestestement, il ne se décolle pas.