Jean-Michel Bardou

Jean-Martial est né le 30 juin 1964 à Montpellier. Son père était contrôleur général dans les assurances, sa mère militaire de carrière, souvent sur le terrain comme au Cambodge et en Algérie. C’est là que ses parents firent d’ailleurs connaissance. Fils unique dans un milieu respirant l’aisance, papa muté à Marseille lorsqu’il a huit ans, il poursuit ses études sur les bords de la Canebière. Après avoir loupé le Bac, il intègre une école de commerce à Paris, et le réussit en candidat libre. Peu attiré par le cursus scolaire, il préfère de loin bosser sur le terrain. Il fait de tout un peu, ne gagne pas beaucoup d’argent, mais il se forme à la réalité du commerce dans la vraie vie. Il a trouvé sa voie, le terrain, et bientôt la finance. Il tente même de vendre des hélicoptères à 22 ans ! Un côté aventureux, optimiste. Il n’est pas très ami avec l’enseignement. Il a rattrapé cet apprentissage en obtenant un troisième cycle en gestion de patrimoine sur le tard. Cette spécialité l’a immédiatement attiré. Placements, investissements, rentabilité, entrent assez rapidement dans son vocabulaire. Faire fructifier l’argent des autres, un job passionnant, et motivant. En 1988, il rencontre l’amour avec Antonella et se marie. Un an plus tard naît une fille, Sophie, il a 25 ans. Suivra Hector. Une vie agréable à Saint-Germain-en-Laye.

De même, je n’arrive pas à joindre mon avocat pour me défendre pour ne pas que je retourne en prison afin de continuer à ne pas pouvoir verser ce que je dois et ainsi retourner en prison pour ne pas continuer à ne pas pouvoir … et ainsi de suite. Ce doit être ainsi que la Justice pense avoir effectué la quadrature de son cercle prétendu vertueux.

Il me semble distinguer un léger bruit de pas dans la pelouse vraisemblablement au pied de l'arbre. Puis ce son doux et léger semble se transformer en effleurement de feuillages et de fleurs. Je distingue maintenant le doux visage et particulièrement la pointe du nez de Julie. Elle se penche délicatement sur moi pour embrasser mon front puis laisser ses lèvres descendre jusqu'aux miennes.

Pendant la descente de l'ascenseur, je me suis mis à penser que c'était la deuxième avocate désignée dans le cadre d'une aide juridictionnelle. Le résultat a pour l'instant l'air d'être meilleur que la premièrequi n'a pas voulu s'occuper de moi suite à sa désignation et dont j'attends toujours l'assignation qu'elle m'a promise si je publiais ce qu'elle m'avait écrit. Chose que je fis dans les cinq minutes de le réception de sa lettre et sur Facebook histoire que cela puisse devenir viral.Il y a un net progrés. Celle-ci ne refuse pas de travailler. Du moins pour l'instant.

Quand est-ce que tous les illuminés comprendront que ce n'est de la faute à personne, à part la leur, s'ils n'y voient pas plus clair?

Les enfants sont pris en otage lorsqu'ils sont pris contre leur propre gré ou contre la volonté de leur mère et de la Jaf?