Son coeur n’est pas à lui. Qu’en ferait-il ? Il l’offre à qui le prend. Il le pose sur la page et invente quelque créature qui saura se l’approprier. Peu d’encre lui suffit. Il n’est pas dépensier. Un pauvre amour a plus de prix qu’un long discours. Il y met pourtant tout son soin. Ce qui n’existe pas a besoin d’attention. (..)
Son coeur qui s’aventure ne porte pas de nom.