Là comme ailleurs en perdition, je traîne des solitudes empoisonnées au bord de flaques d'eau bleue carrelées, dorées de lumières fausses. Je bois des mojitos en regardant la mer, puisque cette vie n'est qu'une écume, ou passe au large comme un navire vers lequel chacun fait en vain des gestes fous de naufragé.