Jean-Noël Robert

Les Romains connaissais le bouilli, ,le rôti et le frit, mais toujours une viande était bouillie avant d’être rôtie ou cuite. Ils préféraient une consistance molle plutôt que craquante. Ce qui explique sans doute l’abondance de leurs sauces. Même avec le frit la cuisine se faisait à huile. Le beurre était connu, mais utilisé seulement en médecine comme médicament

Le culte du phallus que l'on promène en procession dans la campagne et que l'on garde pieusement dans un temple a pour but d'assurer la prospérité des semences et de les protéger du mauvais sort.

Il est très difficile aux hommes de notre civilisation judéo-chrétienne, de comprendre la mentalité religieuse des Romains. Pourtant, nous nous sentons souvent proches des Anciens, au point de nous hasarder volontiers dans des analogies d'apparence facile, mais en réalité souvent trompeuses.

Il nous faut dire aussi un mot de l’homosexualité. Toutes les civilisations l’ont connue mais ne lui ont pas accordé la même place. A Rome, l’homosexualité, et notamment la pédérastie, connut une vague moindre qu’en Grèce et les critères moraux des Romains étaient différents de ceux des Grecs. Légalement les mœurs romaines interdisaient les rapports homosexuels entre deux personnes de sang romain. La morale populaire réprouvait ce genre de conduite.

Une grande partie du malaise dont souffre notre éducation nationale vient du terrorisme intellectuel qu'exerce notre Panthéon, cloîtré dans une ministère sourd et aveugle sur tous ceux qui ont en charge l'éducation des jeunes esprits sur le terrain.

Le désir sexuel est considéré comme un sentiment aussi banal que la colère ou l'angoisse.

L'acte est déconseillé la nuit, parce que le milieu de la digestion est nocif à son accomplissement. Le matin ne convient guère, car les partenaires sont à jeun et manquent de l'énergie nécessaire.

Les Anciens fabriquaient aussi des vins aromatisés : le vin miellé se buvait avec les hors-d’œuvre ; on pouvait de même parfumer le vin en faisant macérer dans le moût un produit d'origine végétale : rose, violette, myrte et, le plus souvent, du poivre.

La musique revêt une importance capitale dans la vie des Étrusques jusque dans leur quotidien. Elle accompagne chaque instant de leur existence. (p.283)

Plus que le sexe, la bouche est l'organe de la débauche.

Caton invite surtout l'acquéreur à la réflexion. Non seulement une terre doit être vue à plusieurs reprises, mais il est préférable de se fier à la bonne mine des voisins plutôt qu'à celle du vendeur.

Des hommes de l'Empire romain sont allés en Chine. Le fait est avéré, connu, indiscutable.

Les Romains connaissaient le bouilli, le rôti et le frit, mais toujours une viande était bouillie avant d’être rôtie ou cuite. Ils préféraient une consistance molle plutôt que craquante. Ce qui explique sans doute l’abondance de leurs sauces. Même avec le frit la cuisine se faisait à huile. Le beurre était connu, mais utilisé seulement en médecine comme médicament

Si le mariage a rarement l’amour pour fondement, celui-ci est présent partout et la passion amoureuse fait perdre la tête aussi bien au plébéien qu’au patricien.

D'autres estiment qie ces scènes figurent la cérémonie funéraire à laquelle le mort lui-même participe. [...] Le mort assiste ainsi à ses propres funérailles, créant d'une part le lien entre le monde des morts et celui des vivants. (p.181)