C'est alors qu'on vit, dans le ciel assombri, fin comme un cheveu d'or dans le chignon d'une comète, le sillage d'un archange tombant du paradis droit dans l'oeil de la chose qui déployait ses ailes, ou dans une narine, ou sa gueule béante, une oreille ou n'importe quelle faille par où il alla se glisser jusqu'au fil ténu d'une vie de dragon qu'il comptait trancher net, "ziiip", d'un coup d'épée...