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Critiques de Jean-Paul Desverchère (4)
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La lumière du silence

Une fois n'est pas coutume, je vous fait une critique d'un livre lu :"La lumière du silence" que je n'ai pas entièrement assimilé mais il fallait que je vous en parle parce que l'auteur l'a revu et corrigé. Son texte: "l'univers du néant L'essentiel : Essai de monadologie" de Jean-Paul Desverchère pourra se lire en format numérique gratuit du 22 avril au 26 avril.

Parce que l'auteur a consacré 22 ans de réflexions dont onze années à l'élaboration de cet essai, au côté surprenant et atypique dont il est fier, et il y a de quoi.

Parce que c'est un homme passionné , par ce qu'il fait, qui est sur le site et est prêt à en discuter avec vous.

Parce qu'il utilise des citations pertinentes ou des exemples basés sur des films, ce qui devrait intéresser les cinéphiles.

Parce que c'est un livre où nous sommes actifs, où nous vagabondons, où des récurrences nous permettent de comprendre ce que Jean-Paul Desverchère veut dire suivant notre sensibilité.

L'auteur croit à son texte avec ferveur et enthousiasme, et je pense sincèrement que tout auteur, tout livre mérite que l'on s'y intéresse. Depuis que je lis, j'ai fini par constater qu'il y a toujours un petit je ne sais quoi qui fait que toute lecture a de l'intérêt. Alors n'hésitez pas, lisez L'univers du néant L'essentiel : Essai sur la monadologie. Soyez curieux.
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Plénitude et vacuité dans la diversité de leurs r..

Précision importante. En se rapprochant de la phrase "Il suffit de comprendre une seule chose pour comprendre toutes les choses car toutes les choses sont liées à cette chose comme étant la diversité de sa récurrence" chaque dessin ainsi que chaque phrase de la page d'introduction de ce livre accumule dans une même résonance les nombreuses mutations possibles d'un modèle unique, qui tout en changeant constamment d'apparence que se soit dans ses traits ou dans ses mots, n'entretient le parcours que de sa pensée unique. le dessin et l'écriture ne sont plus qu'un seul module dans les divers aspects d'une même réalité.

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L'univers dans le néant - L'essentiel : Essai..

Il s'agit ici d'une version allégée de mon essai précédent, l'univers dans le néant aphorismes récursifs et Guematria dont le contenu constitue un essentiel largement exploitable.



Une version de poche n'empêchant nullement sa valeur de s’exprimer grâce à quelques rajouts conséquents alimentant son autonomie tout en restant fidèle à son archétype.



J'insiste afin de canaliser d'éventuels détracteurs que toutes les études présentes dans cet ouvrage ne sont malgré leurs volontés de convaincre qu'une ouverture d'esprit et le resteront certainement à jamais.

Ce qui peut paraitre farfelu s'avère parfois n'être que la lucidité de son imaginatif.



Il faudra en tenir compte lors de la consultation de ces pages.

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L'univers dans le néant : Aphorismes récursifs ..

"Nous n’aurons de cesse d’explorer et la fin de toutes nos explorations sera de revenir à l’endroit d’où nous sommes partis et de connaitre le lieu pour la première fois."

T.S Eliot.



L'univers dans le néant est un essai que je qualifie de boomerang d'aphorismes constitué de nombreuses phrases, dont la fonction est de rapatrier volontairement dans une sonorité récursive un consultant curieux et interrogatif, acceptant d'augmenter paradoxalement le volume de ses ressentis, en cheminant dans une lecture récurrente perçue comme un refuge fidèle et sincère envers la constance de son parcours.



Sa mission est de fournir de l'ampleur à une pensée unique dont le développement s'exécute de la même manière qu'une série de cercles concentriques devenant suite aux résultats de leurs méditations de plus en plus volumineux.



Cela ne doit surtout pas engendrer une récurrence péjorative de la part d'un lecteur ayant l'impression de lire toujours la même chose.



Ce n'est bien évidemment pas le cas malgré les apparences.



L'unique but de cet essai est d'intégrer dans un chapelet progressif une fusion affective, absolue et interactive entre une même information et son devenir.



Une monade symbolise l'unité parfaite entre plusieurs modules confortant de manière différente ou identique l'identité d'un archétype dont ils sont eux-mêmes la signification.



La cité substance attributs. La Monade de ses monades. L'être étant. Le tout en un.



Une façade numérique symbole de l'univers entier dont chaque module n'est que la reproduction de son archétype sous ses différents aspects ceci par la similitude de ses résultats.



Un puzzle cubique réalisé à l’aide d’un seul modèle orienté de différentes manières.



Un pour tous, tous pour un.



Une consultation ne devant jamais devenir boulimique mais obéissant de préférence à des besoins ponctuels méditatifs qu'ils faut savoir interrompre le temps d'une légère absence, ceci permettant à son contenu de se réinventer tout en continuant de cheminer au contact de sa substance originelle.



Selon moi, le plan de la singularité consiste en l'accomplissement simultané d'une même entité disparaissant dans son inconscience afin de faire émerger sa conscience.



Il ne reste plus du créateur que sa partie visible, c'est à dire l'étendue, le support du déterminisme de la création.



Pour mieux comprendre servons-nous de ces deux phrases.



- Outre d'être laid, je n'ai point d'esprit.

La bête.



- Vous avez l'esprit de vous en rendre compte

La belle.



La perception d'un état négatif inconscient que la conscience transforme en perception de soi par sa révélation.



A l'origine, la singularité ne sera-t-elle pas une intuition de soi désincarnée sans conscience possédant néanmoins la faculté consciente de s'en apercevoir et de le clamer.



Le dieu dissimulé (l'inconscience) et le dieu révélé (la conscience) ne seraient-ils pas finalement qu'une même entité.



Dieu est en chacun de nous, c'est l'ayn, notre inconscient fournisseur de nos intuitions et réflexions qu'il contient en mode non révélé et que notre conscience doit mettre en lumière par nos ressentis de manière à ce qu'il puisse en saisir les émanations.



Nous n'avons qu'une chose à faire: Illuminer le néant par notre volonté d'être.



La sagesse est une passerelle entre la lumière et les ténèbres.



Découvrir la source de la singularité initiale c’est découvrir le moment infinitésimal ou le tout et le rien ne font plus qu’un.



Le point zéro, le Tao, la particule de Dieu, le secret des secrets, l’endroit ou toutes les antinomies se rejoignent et s’assemblent.



L’esprit et la Matrice deviennent dans l’espace et le temps le reflet d’un édifice fusionnant l’incapacité de se définir et la capacité de se révéler dans un même absolu.



Ce qui s’accomplit sans lucidité se réalise en parallèle par la connaissance.

L’artiste, le poète, le romancier, le scientifique, le Philosophe et le cinéaste s’accomplissent en se reflétant dans la beauté intérieure d’une nouvelle Matrice qu’ils ont eux-mêmes générés.



Les arbres, les fleurs et les plantes tout en restant ce qu’ils sont dans leur réalité, c'est-à-dire la pureté d’une chose en soi privée de toutes définitions deviennent par les différentes transcendances qu’ils occasionnent la résidence sensitive de leurs observateurs.



Un ensemble homogène entre un esprit revitalisé et un monde sans âme développant sans cesse leur envergure naturelle et sensorielle grâce au dessin et à l’écrit.



La chaleur, le froid, le vent et la pluie restent ce qu’ils sont en stimulant les interrogations et les décisions qu’ils apportent par leurs comportements.



Tout ne constitue que de la sève intuitive pour un regard parcourant d’incessants paysages calmes ou convulsionnés dont il rassemble par son inspiration les différents contenus sur des odes, des cantiques, des symphonies, des tableaux et des livres.



L'appel de la forêt entre la douceur et la braise dans de multiples cas de figures loin de tout sur des flots calmes ou déchainés.



L’Aleph, l’unité, le point qui contient tous les points n’étant que le sien.

Vision symbolique de la divinité démontrant sa nécessité d’affirmer dans toutes ses différentes combinaisons sa pensée unique dans son intégralité simultanée.



Figure que notre contingence ne pourra parcourir que séquentiellement, résultat par résultat à moins de valider n’importe laquelle de ses parties comme étant un reflet de sa totalité.



Équivalent à un labyrinthe rhizome dont tous les accès ne sont que des impasses que l’on découvre à n’importe quel endroit de sa configuration.



Divers aspects d'une même réalité exprimant l'univers entier tissé dans toutes ses monades dont chacune d'entre elles reproduit une variante de son archétype.



Une pensée unique dont l'ensemble est en accord avec chacun de ses objets.



Je suis celui qui est.



Le microcosme hologramme de son macrocosme.



Chaque partie de son ensemble contient l’image de sa totalité.



La vérité universelle constituée par toutes ses vérités individuelles.



La totalité de l'univers sera présente dans chaque monade qui l'exprime selon son point de vue personnel du moment que ce point de vue adopte malgré une constitution différente une même résonance.



Le principe de l'univers est d'incorporer tout ce qu'il est localement dans la définition de sa Monade déclarative représentant l'étendue absolue de son système.



Le lieu où se trouvent, sans se confondre, tous ses lieux vus sous tous les angles.



Son individualité insérée dans sa globalité n'est plus qu'un seul module.



Le Tao, le zéro, Brahman le non né, forme sans forme, plénitude de sa vacuité sur une même figure, conscience absolue de l’hologramme de son univers désincarné.



Brahman, l’éternité sans commencement ni fin. Premier moteur sans matière ni cause ni effet, possédant depuis toujours son essence propre immuable et omniprésente.



Aucune localisation autre que métaphysique pour un état contemplatif reposant dans sa virtualité la plus complète.



Aucune dimension ni probabilité pour un acte pur privé de toutes contingences ne fonctionnant que par le hasard et les circonstances.



Contenant sans l'espace et le temps de manière paisible et détaché son infinité non réalisée comme une seule information instantanée qu’il déploie dans un temps imaginaire sans la ressentir.



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