Il me tarde deretrouver Marie.Je patienterai le temps qu'il faudra. Jusqu'à ce que chacun paye au prorata de ses fautes.Jusqu'à ce qu'une nuit une pluie d'oiseaux morts tombe sur cette ville.Jusqu'a ce que le fleuve charrie des milliers de cadavres de poissons.Jusqu'à ce que je sente ma fille vivante,partout,autour de moi,dans chacun de ces arbres et au fond de ces eaux.