Nous abîmez alors dans la louange…
Extrait 4
Infante, ma maison est blanche dans le bleu,
Votre main si futile a dérouté les langues de la mort.
De ma fenêtre enracinée je vois les filles dans le soir,
Leurs pieds sanglés de cuir et leurs robes qui glissent
sur le flanc des chevaux ;
Et la fin qui me guettent en ma tour vers l’obscur
Et votre main légère qui demande mon bras pour le
repas du soir.