Ces années studieuses lui paraissaient être aujourd’hui une de ces pénitences que l’on s’administre, à titre préventif, pour payer une destinée que l’on a peur de ne pas mériter. Pourtant, se dit-elle en ôtant une à une les graines d’aigremoine qui s’étaient accrochées au bas de son manteau, te voilà bien récompensée de tes efforts.