Il n'était pas comme les autres garçons de son âge. C'était un doux. J'aimais son attention, son écoute, son absence totale d'intérêt pour ce qui semblait animer les autres : diriger, avoir le dernier mot, décider...J'aimais même ses fragilités, car il en avait...Le monde masculin est plein d'abrutis qui sont persuadés que ce qui séduit les femmes ce sont leurs démonstrations de force, alors que c'et le contraire...(p.119)