L’époque était aux innovations qui, dans leur plus grande partie, marquaient en réalité un retour en force aux folles et ingénieuses inventions du XIXe siècle.
À cause des surprises que la mer était toujours capable de fomenter, les pirates étant plus à craindre que les tempêtes, elle n’avait guère utilisé de moyens navigables, à part un court trajet dans le détroit de Macassar, pour lequel elle avait dû prendre place à bord d’une galère dont le pacha, un musulman palabreur, lui avait assuré que ses quarante-huit rameurs étaient « grassement payés », ce qu’elle n’avait cru qu’à moitié.