Les journaux de langue française offraient souvent la silhouette d’un grand barbu, plutôt maigre, qui portait une hotte sur l’épaule. Les Américains préféraient l’image d’un vieillard obèse, toujours hilare. Bien sûr, le « père Noël » faisait plus prospère qu’un saint émacié et son image s’imposait lentement sur tout le continent.