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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
L'esprit du vêtement c'est toujours de l'ordre du détail,mais un détail qui vous rend complet,si j'ose dire.
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Note moyenne 5 (sur 28 notes)
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
L'esprit du vêtement c'est toujours de l'ordre du détail,mais un détail qui vous rend complet,si j'ose dire.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
Ces images-là ne marquèrent pourtant pas la naissance d'une vocation, elles m'encouragèrent à vouloir vivre entre deux mondes, et de préférence plutôt du côté de la rêverie, ce qui est assez contradictoire avec toute vélléité de carrière, c'est-à-dire de travail.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
C'est mon moment favori. Il est vrai que je vis peu le matin, que je mets à profit pour dormir, je préfère que les journées commencent sans moi, les attraper en route comme un train au démarrage. Je suis davantage du soir ou de la nuit. J'aime les fins de journée, cet instant de transition entre deux états, quand le soleil envisage de se coucher : la lumière décline, s'adoucit, ses ombres se dessinent, les bruits changent, des animaux se réveillent. De même, j'aime le thé lorsqu'il n'est plus chaud mais pas encore froid - bref, je le bois quand il a un goût d'après-midi.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
Lorsque mon téléphone sonne, j’espère l’entendre m’apprenant que nous tournons ensemble. Charme, intelligence, gentillesse, écoute : de l’homme idéal, il a toutes les qualités. Tous les matins du monde m’a offert l’un de mes souvenirs les plus chers. Je ne pensais pas être l’homme de la situation, c’est lui qui m’a convaincu que la gravité de Sainte-Colombe me siérait, insistant sur la place centrale de la musique. On se croisait de temps à autre à des concerts de jazz, et je ne peux qu’accorder ma confiance à un cinéaste qui va écouter Ornette Coleman au lieu d’écumer les dînes mondains. Je pense souvent à ce tournage, il était de ceux qui rendent ce métier digne d’être fait.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
Un air qui n'évoque rien, aucune image, n'apporte aucune vision, ne me sert à rien. En quelques minutes, une mélodie peut vous offrir un film, un tableau, un roman, oblitérer le quotidien, suggérer une autre vie.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
Un air qui n'évoque rien, aucune image, n'apporte aucune vision, ne me sert à rien. En quelques minutes, une mélodie peut vous offrir un film, un tableau, un roman, oblitérer le quotidien, suggérer une autre vie.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
Partenaire (le bon). Le talent ne suffit pas pour qu'il soit agréable.Il faut qu'il y ait une rencontre,quasi amoureuse. |
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
La pérennité de notre affection nous met hors du temps, elle abolit ces décennies qui nous séparent pourtant de notre rencontre. Nous ne pleurnichons pas sur nos souvenirs, nous parlons de notre présent, de cinéma, des amis, mais jamais boutique.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
J'aime autant être seul que rencontrer des gens, ce qui est assez paradoxal à moins d'avoir une schizophrénie en floraison incessante. Je prends beaucoup de plaisir à la conversation et n'aime rien tant qu'on me foute la paix : je suis un misanthrope mondain, un solitaire bavard.
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Le grand n'importe quoi de Jean-Pierre Marielle
J'ai eu la chance de visiter l'Afrique australe,où l'homme est au mieux ignoré par les animaux.Ainsi,les zoos me dépriment:fait-on visiter des prisons aux ours et aux girafes?
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Ce livre retrace la vie de l'enfant d'une