"Ne dites pas à ma mère que je travaille à la Commission, elle me croit pianiste dans un bordel" aurait pu être le titre de ce chapitre. Autant les fonctionnaires européens étaient fiers, dans le passé, d'afficher qu'ils travaillaient pour l'Europe, autant depuis 20 ans, ils s'en cachent. [...] Les eurocrates, et plus particulièrement ceux de la Commission, ont conscience de cristalliser tous les ressentiments qu'une partie de la population porte à l'égard de cette Europe accusée de tous les maux.
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