Il lui laboure la vigne et, malgré son âge, sa bêche ne ploie pas avec l’effort dans l’archière, le sillon, le gaufrier, la fente du cuvier d’Héloïse qui, elle, avale les reliques, le bourdon, l’écureuil, le soc de celui qui crie Gloria laus qu’on pourrait traduire par « Gloire à l’os ! ». Ils font la bête à deux dos.