Jusqu'à pas trop longtemps passé, Edius Raquin avait cru que la vie était un mouchoir marqué avec trois nœuds d'éternité. Un et deux pour la naissance et le mariage. Le troisième pour la mort se souvenir.
En bon Cadjin de la paroisse Evangeline, il faisait confiance au Bon Dieu, chérissait sa terre juste avant sa famille, persuadé que c'était mieux vivre qu'exister, mieux pour un époux et sa femme de se fier l'un à l'autre que de se faire la guerre ou d'avoir doutance du monde qui vous entoure.