…quand on ne considère pas l’enfant qui meurt comme une simple unité statistique, mais comme la disparition d’un être singulier, irremplaçable, venu au monde pour vivre une vie unique et qui ne reviendra pas, la pérennité de la faim destructrice dans un monde regorgeant de richesses et capable de « décrocher la lune » apparaît encore plus inacceptable. (p. 48)