A bord, à présent, ce n'était plus le « patron » mais lui qui commandait. Et on ne flânait pas à exécuter ses ordres. Au moindre retard, le coupable était châtié à coup de poing et de pied. Mais plus encore peut-être que les coups, les injures dont il les accompagnait agissaient sur les matelots. Ils les redoutaient plus que les bourrages.
Bien loin de le haïr pour sa brutalité, ils l'admirèrent. (p. 48)