Ce ne sont que bals, chasses, banquets, tournois, jeux et folâtreries ! Ah ! Marie, qui n'a pas vu ces débordements de liesse, de splendeur, de divertissement, de luxe, d'euphorie, n'a rien vu ! Qui n'a pas vécu ces moments-là, ignorera toujours ce qu'est l'ivresse d'un peuple qui goûte enfin une paix si ardemment souhaitée, le faste d'une cour qui, pour la première fois, peut briller d'un éclat si neuf qu'elle éclipse, ou peu s'en faut, l'admirable cour de Bourgogne.