Jeff Kinney

En se débrouillant pour que les gens attendent très peu de vous, on les épate en ne faisant quasiment rien.  (p.21)

Comme je l'ai dit, un jour je serai célèbre, mais en attendant, je suis coincé au collège avec une bande de débiles. Page 8

Mémère était la mère de Grand-mère. Avec tout le respect que je lui dois, si jamais j'ai des petits-enfants un jour, c'est MOI qui choisirais comment je me ferai appeler et PAS EUX.

J'aidéja lu ce livre et il est excellent.

Le jeune Greg Heffley est au collège. Tout va de travers pour lui. Par exemple, son frère organise une fête pendant que les parents sont ailleurs, et Greg Heffley se fait embarrer dans la cave où il fait très froid. Que va-t-il arriver d'autre?

Ça fait quelques jours que ma mère tente une expérience sur Rodrick et moi. Elle voulait voir combien de temps on tiendrait avant de sortir la poubelle sans qu'elle nous le demande. Mais je crois qu'on a échoué à son test car, hier soir, elle a abandonné.
Pendant le dîner, maman a dit qu'elle n'était pas allée à la fac pour passer son temps à faire le ménage derrière nous et gratter le chewing-gum de la semelle de nos chaussures. Elle a besoin de retrouver un 'environnement stimulant' et va reprendre ses études pour terminer son master.
Elle a ajouté que, pour que ça fonctionne, chacun allait devoir donner un coup de main. Aussi, afin de rendre les tâches ménagères plus 'amusantes', elle a imaginé un 'sac à pioche' - une taie d'oreiller remplie de bouts de papier sur lesquels elle a écrit des corvées.
[...]
Rodrick et moi, on est censés piocher dans le sac tous les jours après les cours et faire la corvée indiquée.
[...] j'ai plongé la main dans le sac à pioche et j'ai tiré un bout de papier avec 'frotter l'argenterie' marqué dessus, ce qui doit être la pire corvée de tout le lot.
Rodrick, lui, a dû ajouter ses propres bouts de papier dans le sac, parce que je l'ai trouvé endormi à côté d'une feuille portant SON écriture : 'faire une sieste'.
(p. 102-105)

Ma mère cherche toujours à me faire lire des trucs « enrichissants », mais quand il s'agit de livres, je sais bien ce que j'aime. Et, depuis l'école primaire, les bouquins que je préfère sont ceux de la série 'Les Voleurs de slips'.
Dans 'Les Voleurs de slips', les deux héros, Bernard et Brian, remontent le temps et piquent les sous-vêtements de personnages célèbres pour les mettre dans un musée.
Je sais que ça paraît un peu ridicule, mais en fait, les bouquins sont très drôles.
Les types de ma classe ont toujours adoré ces bouquins, mais les profs les détestent à cause de leur « humour vulgaire ».
En CM2, à chaque fois qu'on avait un compte-rendu de lecture à faire, tous les garçons choisissaient un tome de la série 'Les Voleurs de slips'. Et du coup, la prof, Mme Terry, les détestait encore plus. [...]
La plupart des parents n'aiment pas la série des 'Voleurs de slips' non plus.
En fait, cette année-là, l'association des parents d'élèves et des professeurs a même tenu une réunion pour décider que les cotisations ne devaient servir à acheter aucun des titres des 'Voleurs de slips' pour le CDI.
Quand on est rentrés à l'école, après les vacances de printemps, tous les exemplaires des 'Voleurs de slips' avaient disparu du CDI.
J'espère que les adultes sont contents d'eux, maintenant que toute une génération de garçons grandissent sans savoir lire.
(p. 52 à 57)

Greg a eu des vacances horribles! Il c'est passe des choses qu'il ne veut révéler à personne .Son frère Rodrick est le seul à savoir se qui c'est réelement passé cet été et il ne va pas se gêné pour le faire chanter !
Va-t-il s'en sortir ?

Le jeune Greg Heffley est au collège. Tout va de travers pour lui. Par exemple, son frère organise une fête pendant que les parents sont ailleurs, et Greg Heffley se fait embarrer dans la cave où il fait très froid. Que va-t-il arriver d'autre?

Greg a 12 ans. Il a un grand frère qui lui joue des tours, un petit frère qui lui colle après, une mère qui s'occupe de lui et un père très chialeux. À l'école greg veux être du côté des forts, mais il est du côté des nuls.

Greg a 12 ans. Il a un grand frère qui lui joue des tours, un petit frère qui lui colle après, une mère qui s'occupe de lui et un père très chialeux. À l'école greg veux être du côté des forts, mais il est du côté des nuls.

Le jeune Greg Heffley est au collège. Tout va de travers pour lui. Par exemple, son frère organise une fête pendant que les parents sont ailleurs, et Greg Heffley se fait embarrer dans la cave où il fait très froid. Que va-t-il arriver d'autre?

Madame Graziano a distribué le courrier à tous les élèves qui en avaient reçu. Maman m'avait envoyé une lettre, et je reconnais que j'ai eu la gorge un peu serrée en la lisant.
« Cher Gregory,
Tu nous manques tellement ! J'ai hâte que tu rentres à la maison. J'espère que tu t'amuses énormément !
Bisous et câlins.
Maman »
J'avais aussi une lettre de Rodrick [mon frère], mais elle ne m'a pas plu autant que celle de ma mère :
« Cher Greg,
J'ai trouvé tes barres chocolatées [cachées dans ta chambre]. Tiens tu peux sentir les emballages [joints].
Ha, ha, ha. »
[...]
Julian avait du courrier de chez lui aussi. Mais sa mère a commis une terrible erreur en lui envoyant une photo. [pleurs]
Julian n'était pas le seul à qui sa famille manquait. Deux élèves n'avaient rien reçu du tout, et ils ont demandé à certains qui avaient reçu des lettres de les lire à voix haute.
« J'ai préparé tes biscuits préférés et je les ai mis au frigo pour quand tu rentreras ! Je t'aime,
Maman. »
[pleurs]
Certains ont eu des colis avec des trucs comme des vêtements propres.
Le grand gagnant de notre groupe a été Graham Bertran, qui a reçu un colis énorme plein de provisions.
De retour dans la cabane, on a découvert que Graham s'était envoyé lui-même le colis avant de partir, et il avait planqué toutes sortes de super trucs [interdits] dans ses affaires.
En plus, il voulait bien partager. Je n'aurais jamais cru que je mangerais un jour des tortillas dans une chaussure de randonnée, mais j'avais déjà renoncé à mes derniers lambeaux de dignité.
(p. 176-180)

De nos jours, on peut même avoir des ennuis en se prenant soi-même en photo. Il y a quelques mois de ça, on est allés au resto en sortant de l'église et, au moment de partir, j'ai cru avoir de l'épinard coincé entre les dents.
Il n'y avait pas de miroir, alors j'ai emprunté le portable de ma mère pour me prendre en photo et vérifier.
Mais la dame qui était devant moi [les fesses en l'air] a cru que je la photographiais, et elle n'a pas voulu nous laisser partir avant d'avoir fouillé dans le portable de ma mère pour être sûre que je ne l'avais pas fait.
(p. 67)

Alors ma mère a sorti la crème solaire et nous en a tartiné, Rodrick et moi. J'étais content que papa ne soit pas là, parce que ça le rend furax que maman s'occupe de trucs qu'on pourrait faire nous-mêmes.
En vérité, j'ai l'impression que maman ne fait pas ça pour rien. Elle ne veut pas qu'on devienne trop indépendants de crainte qu'on n'ait plus besoin d'elle par la suite. Mais je pense que ça pourrait se retourner contre elle.
Parce que, au rythme où vont les choses, il y a de bonnes chances que Rodrick et moi partions à la fac sans même savoir nous couper les ongles de pied.
(p. 128-129)

[ vide-grenier ]
Je suis à peu près certain que c'est la mère de Robert qui choisit mes cadeaux vu que ce sont toujours des trucs pour apprendre quelque chose. Et ils sont dans un état impeccable parce que je ne les ai jamais ouverts.
Je ne sais pas ce qui a le plus énervé Robert : le fait que je vende ses cadeaux ou le panneau que j'avais mis sur la table [CADEAUX POUR INTELLOS].
(p. 24-25)

Le temps d'arriver à l'aérogare, on était tous les deux trempés et sur les nerfs. Alors, quand un pick-up a failli nous renverser sur le passage piéton, papa est devenu dingue, et il ne l'a pas caché.
[coup de pied dans le pare-choc]
Mais ça n'a pas du tout plu au conducteur. Le type [un costaud] s'est garé avant de descendre de sa camionnette.
On n'est pas restés assez longtemps pour mettre les choses au clair avec lui. On s'est sauvés dans l'autre sens et on s'est mêlés aux gens qui traînaient sur le trottoir jusqu'à ce que tout danger soit écarté.
Papa m'a dit que ça m'apprendrait quelque chose, à savoir qu'il ne faut jamais se mettre en colère ni faire quoi que ce soit d'inconsidéré. Mais j'en ai tiré un AUTRE enseignement : quand les Heffley sont dans le pétrin, les Heffley SE SAUVENT.
(p. 20-21)

J'aurais dû penser bien plus tôt à parler de ça avec oncle Gary. Il a déjà été marié dans les quatre fois, ce qui en fait un SPÉCIALISTE des relations amoureuses.

J'ai dégotté quelque chose que je croyais avoir perdu depuis des années : le classeur de stickers que je collectionnais en CE2.
Ces stickers étaient devenus une obsession. Surtout les parfumés qu'il fallait gratter. Je collectionnais toutes les bonnes odeurs, genre chewing-gum ou barba à papa, mais j'avais aussi celles qui craignaient vraiment.
Quand un gosse de ma rue voulait savoir ce que sent la crotte de girafe ou le melon d'eau pourri, il venait me voir.

Au collège, il y a une forte pression pour encourager le "renforcement positif", et ils ont commencé à enlever toutes les affiches anti-harcèlement des couloirs, parce qu'elles n'entrent plus dans la nouvelle politique.
Maintenant, au lieu de punir ceux qui se conduisent mal, on va récompenser les élèves sympas.
L'idée de départ, c'est que si un prof vous voit en train d'aider un autre élève, vous gagnez un "point-héros".
Au bout d'un certain nombre de points héros, on peut les transformer en récompense, comme de la récré supplémentaire.
Et la classe qui totalisera le plus de points héros aura une journée de cours en moins au mois de juin.
C'était une bonne idée, mais il faut toujours qu'il y ait des gens pour tout gâcher. Les élèves ont tout de suite compris qu'ils n'avaient pas besoin de faire de vraies bonnes actions pour avoir des points héros. Ils se sont mis à faire de fausses bonnes actions dès qu'il y avait un prof dans les parages.