AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Jeffery Deaver (304)


(…) les criminels qui se laissent emporter sont aussi des criminels imprudents. Ils sont plus visibles et laissent plus de traces que ceux qui savent se contrôler. Mais (…) ils étaient aussi plus dangereux. (…) La moindre menace, le moindre empêchement, provoquaient une réaction immédiate et radicale. Et au diable la logique.
Commenter  J’apprécie          20
Dale était tout près d'elle. Elle sentait sa présence, il y avait longtemps qu'elle ne s'était pas trouvée si proche d'un homme aussi fort. C'était excitant, rassurant et troublant en même temps. (Nouvelle : La vie sans Jonathan)
Commenter  J’apprécie          20
Les noms sont une source d'erreurs. Les erreurs font du bruit. Le bruit, c'est la contamination. Il faut éliminer la contamination.
Commenter  J’apprécie          20
Dans mon pays, nous avons quatre catégories de personnes. Pas des riches et des pauvres, comme vous avez ici. En Chine, ce que vous faites est plus important que votre argent. Et le plus grand honneur, c’est travailler pour le pays, pour le peuple.
Commenter  J’apprécie          20
Et tout ce qui concerne le futur n’est qu’imagination. Dans les deux cas, il s’agit d’une illusion : les souvenirs ne sont pas fiables et nous nous contentons de formuler des hypothèses sur l’avenir. La seule réalité, c’est donc l’instant présent – qui oscille constamment entre l’imagination et le souvenir. Alors, vous voyez ? La plus grande partie de notre vie n’est qu’illusion.
Commenter  J’apprécie          20
Martelant les touches avec toute la délicatesse d’un lutteur sumo pendant le combat, il entama sa quête.
Commenter  J’apprécie          20
- Merci beaucoup, dit-il très vite, les mots s'échappant comme des écureuils.
Page 300
Commenter  J’apprécie          20
Il remarqua pour la première fois la batterie de caméras qui surveillait le hall. Elles le firent penser des vautours tranquillement perchés sur le mur pour attendre qu'une proie rende l'âme et s'écroule.
Page 298
Commenter  J’apprécie          20
En la reconduisant jusqu'à la porte, Chilton éclata soudain d'un rire sincère.
- Un secret dans la blogosphère, agent Dance ? Savez-vous comment la parole circule de nos jours ? ... A la vitesse de la lumière.
Commenter  J’apprécie          20
Kathryn posa un regard d'envie sur ce décor végétal . L'art du jardinage, qu'elle tenait en grande estime, ne faisait pas partie de ses talents. Maggie disait toujours que si les plantes n'avaient pas de racines, elles se sauveraient dès que sa mère entrerai dans le jardin.
Commenter  J’apprécie          20
Le requin qu’on ne voit pas est toujours plus dangereux que celui qu’on voit.
Commenter  J’apprécie          20
Le stress étant dans bien des cas un signe de tromperie. Une fois qu’elle l’avait détecté, elle s’attachait au sujet qui l’avait provoqué et creusait méthodiquement, jusqu’à ce que son interlocuteur craque.
Commenter  J’apprécie          20
Notre propre destruction est le fait d’une force tout à fait naturelle. Tout meurt ; quoi de plus naturel ? 
Commenter  J’apprécie          20
 La criminologie n’est pas une discipline abstraite. Mieux on connaît son environnement, mieux on la pratique… 
Commenter  J’apprécie          20
- Avant la guerre de Sécession, un esclave comptait seulement pour les trois cinquièmes d'un homme quand il fallait estimer la population de chaque État afin de déterminer le nombre de représentants au Congrès, expliqua Geneva. Oh, ce n'était pas une machination diabolique des Confédérés, comme vous pourriez le croire ; non, ce sont les Nordistes qui ont étable cette règle.

"Ils auraient préféré ne pas compter du tout les esclaves, car du coup, le Sud se retrouvait avec plus de représentants au Congrès et au collège électoral. Évidemment, le Sud, lui, voulait les considérer comme des individus à cent pour cent.

Cette règle des trois cinquième était une sorte de compromis".

- On les prenait en compte, observa Thom, mais ils n'avaient pas le droit de voter.
- Bien sûr que non, dit Geneva.
- Les femmes non plus, d'ailleurs, fit remarquer Amélia.
Commenter  J’apprécie          20
Dans une prise d'otages, la négociation est l'art de tester les limites.
Commenter  J’apprécie          20
Quinze minutes avant que sonnent huit heures.

« Rien, Margaret », dit la grosse voix dans son écouteur, celle de C.P. Ardell.

Il était en bas, à l’entrée qui donnait sur le parking du Ritz, jouant les fêtards passablement éméchés. Il portait une tenue beaucoup plus décontractée que Margaret : jean taché et blouson de motard en cuir, sans oublier la casquette des Redskins, qu’il avait mise non pas à cause du froid, mais parce qu’il n’avait pas de cheveux pour cacher son oreillette. Il y avait dans l’hôtel, la galerie marchande et les alentours, soixante-cinq autres agents en civil, armés de plus d’engins qu’on n’en trouverait dans une compétition de tir à El Paso.
Et tous recherchaient un homme dont ils n’avaient pratiquement pas de description.
Commenter  J’apprécie          10
Margaret Lukas regarda les familles présentes à l’hôtel Ritz Carlton.
Harold et elles se tenaient à l’entrée principale, où des centaines de gens se rassemblaient pour le dernier dîner de l’année. Margaret portait un tailleur bleu nuit qu’elle avait dessiné et cousu elle-même. Coupé près du corps dans un tissu luxueux, il était composé d’une veste et d’une longue jupe plissée. Elle avait ménagé un pli spécial dans la veste pour s’assurer que le Glock 10 mm à sa hanche ne gâcherait pas les lignes élégantes du vêtement. C’était la tenue parfaite pour aller à l’opéra ou dans un restaurant chic, mais elle ne l’avait en fait portée qu’à des mariages et des enterrements. Elle l’appelait son tailleur « marié-enterré ».
Commenter  J’apprécie          10
Parker approcha de la lettre la puissante lampe d’examen. Il se pencha au point qu’il entendit une de ses vertèbres cervicales craquer.
Parle-moi, demanda-t-il en silence au morceau de papier. Dis-moi tes secrets.
Le fermier n’a qu’une cartouche dans son fusil, et les faucons sont si éloignés les uns des autres qu’il ne peut en toucher qu’un…
Il se demanda si le commanditaire avait tenté de déguiser son écriture. Beaucoup de criminels – par exemple les kidnappeurs écrivant une demande de rançon – déguisent leur écriture pour rendre les comparaisons plus difficiles.
Commenter  J’apprécie          10
« Un fantôme ! » murmura Margaret d’un ton cynique.
Il se pencha de nouveau sur la lettre et étudia le papier froid et les lettres noires. Il la lut plusieurs fois.
La fin est nuit.
Parker remarqua qu’il n’y avait pas de signature. Cela pouvait sembler une observation futile, sauf qu’il avait participé à plusieurs affaires où le criminel avait signé ses lettres de demande de rançon ou de revendication. Une d’elles était fausse, visant à égarer les enquêteurs (même si la signature avait fourni un échantillon de l’écriture du criminel qui avait finalement permis son inculpation). Dans un autre cas, un kidnappeur avait vraiment signé de son nom, peut-être un geste automatique dans la confusion de l’enlèvement. Le criminel avait été arrêté dix-sept minutes après que la famille de la victime eut reçu la demande de rançon.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jeffery Deaver (1345)Voir plus

Quiz Voir plus

Louison et Monsieur Molière

Qui est le personnage principal ?

Louise
Louisette
Louison
Louis

5 questions
97 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}