La laideur de ce qu'on lui fait ressentir contamine tout ce qu'elle voit, tout ce qui l'entoure.
Dès qu'elle en trouve les lèvres, ne serait-ce que pour prononcer un pardon quand un voyageur inconséquent et pressé la bouscule, c'est pour y laisser grandir un soupir gros comme une bulle de chewing-gum dont elle se prendrait indéfiniment l'éclat en pleine face.
Elle est comme ça Louise : un connard va la bousculer et c'est elle qui va demander pardon.
Trop fragile pour ce monde de fuyards qui font du surplace. Sale temps pour les rêveurs, n'est-ce-pas ?
Vous tirez des plans sur la comète et une pluie de météorites vous tombe sur la gueule.