Ne trouvez-vous pas fascinant, avait soufflé John Edward Forese immobile devant ses deux Van Gogh, que quatre cent ans après Toricelli, nul scientifique ne soit encore parvenu à crée le vide parfait ? Il reste toujours un ou deux atomes irréductibles dans les centimètres cubes de leurs belles créations. Et pourquoi n'y parvient-on pas, Pascal ? Pourquoi ? Parce que l'on ne veut pas. Parce que là où le vide demeure, Dieu n'aurait pas sa place.