J'aime le cheval parce que si parfois il m'avantage, jamais il ne me flatte. Il force à l'humilité, il ne me passe rien et, s'il accepte un jour de me récompenser de mes efforts, sans doute l'ai je alors mérité. C'est un grand donneur de leçons. Je ne peux rien lui imposer ; je lui propose seulement de consentir à faire, avec moi, un bout de chemin.