Mais je ne voulais pas m'effondrer, je ne voulais pas des paroles doucereuses et des drogues du docteur Duvert. je l'avais vu faire avec maman. J'avais compris. Il ne soignait pas la racine du mal dont vous souffriez, seulement ses symptômes.
Il vous abrutissait pour que vous puissiez continuer de faire semblant que tout allait bien, que tout était normal, même si, pour cela, il vous transformait en morte-vivante, comme maman. (p.185-186)