Citation de Arz
À l’aube, ils sont là. Des dizaines de soldats et presque autant de cavaliers qui entourent Wembrit, l’abbé Conwoïon et Iarnoc le guerrier.
Gudrodr avance vers eux une main en l’air, en me traînant par les lanières de cuir qui entravent mes poignets. Il expose la situation, implore le pardon, plaide la folie passagère d’un homme et propose de me livrer à leur justice en gage de bonne volonté.
Pendant que Gudrodr débite péniblement son discours en butant sur chaque mot, Wembrit me jauge de son regard froid. Ses yeux me sondent et plongent directement dans mon âme. Je ne peux réprimer un frisson. Cette femme n’est pas le genre de personne à qui l’on résiste longtemps et quelque chose me dit que j’ai intérêt à choisir rapidement mon camp.
Gudrodr avance vers eux une main en l’air, en me traînant par les lanières de cuir qui entravent mes poignets. Il expose la situation, implore le pardon, plaide la folie passagère d’un homme et propose de me livrer à leur justice en gage de bonne volonté.
Pendant que Gudrodr débite péniblement son discours en butant sur chaque mot, Wembrit me jauge de son regard froid. Ses yeux me sondent et plongent directement dans mon âme. Je ne peux réprimer un frisson. Cette femme n’est pas le genre de personne à qui l’on résiste longtemps et quelque chose me dit que j’ai intérêt à choisir rapidement mon camp.