Témoignage de Raoul, qui s'est fait tatouer à Biribi :
"On a fait ça les dimanches dans le dortoir, avec de l'encre de Chine et des aiguilles passées en douce par les ouvriers. En tout il y a 200 heures de boulot ; mais j'ai dû arrêter à cause de la furonculose. J'avais une cinquantaine de furoncles sur le dos, c'est pour ça qu'il y a des roses qui ne sont pas finies."