Nationalité : Belgique
Biographie :
Jérôme Poncin vit dans le Brabant wallon. Il est comédien professionnel depuis plus de 15 ans. Il intervient régulièrement dans l’émission pour enfants « Ici Bla-bla » et, en 2004, il intègre le Théâtre des 4 Mains qui a notamment joué « La guerre des Buissons », adaptation en marionnettes du livre de Joke Van Leeuwen paru en français chez Alice, « Quand c’était la guerre et que je ne comprenais pas le monde ». En 2018, Jérôme signe la co-mise en scène de « La classe des Mammouths », une création collective du Théâtre des 4 Mains qu’il le transpose en roman primo pour Alice Jeunesse.
Jérôme Poncin vit dans le Brabant wallon. Il est comédien professionnel depuis plus de 15 ans. Il intervient régulièrement dans l’émission pour enfants « Ici Bla-bla » et, en 2004, il intègre le Théâtre des 4 Mains qui a notamment joué « La guerre des Buissons », adaptation en marionnettes du livre de Joke Van Leeuwen paru en français chez Alice, « Quand c’était la guerre et que je ne comprenais pas le monde ». En 2018, Jérôme signe la co-mise en scène de « La classe des Mammouths », une création collective du Théâtre des 4 Mains qu’il le transpose en roman primo pour Alice Jeunesse.
Source : www.alice-editions.be
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Citations et extraits (9)
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En orthographe, le feminin l’emporte sur le masculin. Pourquoi ?
Vous vous rendez compte ? Même s’il n’y a qu’un seul garçon au milieu de 100 filles, on doit dire « ils »
C’est trop nul…Même Mr Vanderelst, il ne sait pas l’expliquer cette règle.
Vous vous rendez compte ? Même s’il n’y a qu’un seul garçon au milieu de 100 filles, on doit dire « ils »
C’est trop nul…Même Mr Vanderelst, il ne sait pas l’expliquer cette règle.
Sois comme tu as envie d'être, et pas comme ton genre te l'impose.
Et puis, non, le masculin ne l'emporte pas sur le féminin! ni en orthographe, ni dans ma classe ! Ni nulle part ailleurs !
Les recherches et les découvertes des enfants m"ont ouvert les yeux sur beaucoup de choses.
S'il s'agit de dessiner, c'est toujours aux filles qu'on demande. C'est pas juste. [...], j'adore dessiner.
Ça m'énerve, moi, de toujours tout séparer en clan comme ça.
Et puis, non, le masculin ne l'emporte pas sur le féminin! ni en orthographe, ni dans ma classe ! Ni nulle part ailleurs !
Les recherches et les découvertes des enfants m"ont ouvert les yeux sur beaucoup de choses.
S'il s'agit de dessiner, c'est toujours aux filles qu'on demande. C'est pas juste. [...], j'adore dessiner.
Ça m'énerve, moi, de toujours tout séparer en clan comme ça.
Les garçons ils disent que je joue bien au foot pour une fille. Moi je leur dis que je joue bien tout court ! Je suis même meilleure que certains garçons.
Quel formidable métier je fais, vous ne trouvez pas ? Tous les jours, je vais à la mer... Je parcours des kilomètres et des kilomètres. Et le soir, je fais le trajet dans le sens inverse et je rentre chez moi. Je retrouve ma maison. C'est toujours le même paysage qui défile mais tous les jours, il est différent. Cela dépend de la Iumière, de la saison, de mon humeur... Je le connais par cœur et pourtant, il me surprend encore. Chaque voyage me fait rencontrer de nouvelles personnes... Aujourd'hui, c'est vous.
Mamie est peut-être devant la porte automatique de sa maison de repos, une valise à la main, à nous attendre. Cette image me fend le cœur. Je veux aller la chercher. Passer du temps avec elle, lui parler, me balader à ses côtés. Qu'elle me raconte papi. Pourquoi est-il parti ? Qu'elle me dise ce qu'elle aime manger, ce qu'elle aime faire. Quand je suis née, c'était quoi sa réaction ? Dans sa vie, c'était quoi son moment préféré ?
C'est décidé... Cette nuit, j'irai kidnapper mamie !
C'est décidé... Cette nuit, j'irai kidnapper mamie !
Je veux bien le croire pour le coup, il semble sûr de son information. Il a dû lire le livre. J'ai déjà remarqué ce phénomène ; certaines histoires ne sont pas les mêmes quand elles sont écrites ou quand elles passent à la télé. Moi, je préfère les lire.
Sois comme tu as envie d’être, et pas comme ton genre te l’impose.
Nous marchons déjà depuis quelques heures au bord de l'eau. Mamie ne veut rien faire d'autre. Elle s'arrête de temps en temps face à la mer sans dire un mot. Tout est calme. Je ne m'ennuie pas, au contraire. Le temps est suspendu, il n'y a qu'elle et moi. Dans sa résidence, les seuls voyages autorisés vont de sa chambre à la cafétéria... Ici, il n'y a pas de limite, pas de destination précise.
C'est peut-être bête, mais je me suis souvent demandé si les grands-parents étaient toujours heureux d'avoir des petits-enfants. Dans la plupart des cas, nos parents nous désirent. Il s veulent avoir des bébés. Mais on ne sait pas si les grands-parents nous souhaitent vraiment.
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