Que cette femme, qui m’est parfaitement inconnue, puisse penser le contraire ne fait que confirmer une chose que j’ai toujours crue sur l’industrie du cinéma : tous ceux qui en font partie sont convaincus d’être le centre absolu du monde, ou au moins l’un des quatre points cardinaux. Et les autres sont tous des losers, comme moi, qui passent leur temps le nez appuyé contre la vitrine du saint des saints.