Mon cœur ne tenait plus qu'à un fil, maintenant, et je serrai sa main à mon tour. C'était ça, tromper ? On aurait dit que l'air frais m'avait quittée et avait été remplacé par une vapeur instable et chaude. Elle pompait toute mon énergie mais me transmettait aussi de nouvelles forces . Je respirais avec fébrilité. Je m'adossai de tout mon poids contre le mur. Un faux mouvement , et je me retrouvais par terre - par terre, ou dans les bras de Pascal...