Ouains. Ça fait pitié, mon affaire. Incapable d’avoir une vraie relation amoureuse, je dessine des pitounes à la journée longue.
Le pire, c’est que ça marche presque, comme palliatif. Pendant quelques secondes, un dessin qu’on vient de réussir peut nous réconforter. Après, la magie s’envole et il faut recommencer.